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Le soleil et l'ermite sont fait pour s'entendre... Si si ! [pv Leona]

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Debito - L'Eremita
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Debito - L'Eremita
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MessageSujet: Le soleil et l'ermite sont fait pour s'entendre... Si si ! [pv Leona] Le soleil et l'ermite sont fait pour s'entendre... Si si ! [pv Leona] EmptyMer 17 Juin - 16:04

Certaines personnes pensent que tenir un casino est une véritable sinécure. (Ce à quoi il faut réponde "c'est pas faux" si vous avez un minimum de culture.) Après tout, cela n'inspire qu'au jeu, aux belles dames autour des tables de pokers à soutenir leur homme, jusqu'à ce que celui-ci se ruine et là y a plus personne. Ce lieu était après tout toujours en effervescence et les gens avaient l'air de bien s'y amuser, c'était le but après tout d'un tel établissement, du coup, on se disait forcément que les gens qui bossaient là étaient forcément toujours de bonne humeur et vivaient dans une bonne ambiance absolue. Seulement voilà, quand on observait bien Debito, on se rendait bien compte que… C'était le cas. Très franchement, quand on débarquait au Casino pour voir le gérant de l'endroit assis tranquillement près du bar, un verre de bon vin à la main et deux charmantes créatures pour lui tenir compagnie, tout homme saint d'esprit devait forcément se dire qu'il avait le boulot le plus cool du monde. Mais c'était faux hein !... Il avait un travail très compliqué et tout ça… Enfin… Déjà, les horaires n'étaient pas ceux d'un homme de bureau normal hein. Le Casino restait ouvert jusque tard dans la nuit et il fallait veiller au grain, car c'était la nuit que les gains, les voleurs et les tricheurs se faisaient les plus nombreux. Bon, en même temps, pour Debito qui avait un rythme de sommeil assez décalé à cause de sa carte, ce n'était pas vraiment un problème. Au contraire, il restait de toute façon éveillé de lui-même, alors puisqu'il pouvait faire une petite sieste de temps en temps pour se maintenir en forme la journée, cela était loin d'être un souci. La preuve, notre homme était en grande forme ce soir et c'était tant mieux puisqu'il était encore tôt.

Mais n'allez pas vous fier aux apparences, notre homme bossait là ! Enfin… Il faisait une petite pause dirons-nous. Mais il avait bien le droit après tout. Tout d'abord, parce que c'était lui le Capo et que du coup, c'était à lui de décider s'il s'accordait une pause ou non. Pratique. Et deuxièmement, c'était sans doute le dernier moment de répit qu'il aurait avant que la soirée ne démarre réellement et il fallait donc en profiter comme il se doit. Le chef de la pièce se détendait donc, entourée de groupies qui lui rappelaient qu'il était le meilleur et profitant du calme ambiant. Enfin, aussi calme que pouvait l'être un casino en tout cas, mais comme les gros joueurs n'étaient pas encore là à cette heure, il trouvait cela reposant lui. Il était aussi heureux que Kyrielle ne soit pas dans le coin. Premièrement parce que la demoiselle avait tendance à ramener les soucis avec elle et que son pauvre établissement de jeu avait parfois du mal à se remettre de ses visites… A elle et à ses copains un peu trop armés en fait. Et deuxièmement, parce que la brunette semblait bien décidé à éloigner toute fréquentation féminine de notre cher Don Juan. Apparemment, elle voulait qu'il se case honnêtement plutôt que de batifoler bêtement sans lendemain puisqu'elle ne voyait aucun intérêt à cela. Ah, pauvre petite Kyrielle, un jour il devrait lui expliquer comment étaient les hommes… Ou les Italiens plus particulièrement. Vous savez, ils avaient un peu tous cette manie de vouloir polliniser un maximum, comme s'il y allait avoir une terrible guerre et qu'ils avaient besoin de repeupler l'Italie et ses îles.

Bon, il y en avait aussi des sages hein, regardez donc Luca, mais en même temps… Celui-là, à part courir derrière sa princesse pour l'habiller comme une poupée, on ne le voyait pas trop courir après les dames hein. Enfin, on dit ça on dit rien. Au moins, il ne faisait pas trop concurrence à notre homme, qui n'avait de toute façon rien à craindre de personne. Ben oui, il était le meilleur hein, fallait faire avec voilà tout. Personne ne résistait à son charme… Ben… Irrésistible. Ah tient, qui venait donc de rentrer dans le champ de vision de notre homme là ? Ce n'était pas la charmante Leonita ? Que faisait-elle là tient… Elle ne s'occupait pas vraiment du casino en général, plutôt tout simplement des finances et du transport d'argent, mais pour Debito, c'était toujours une bonne surprise de croiser sa chère amie d'enfance. Car oui, monsieur pouvait avoir des amies avec un e. Il ne sautait pas bêtement sur tous ce qui bougeait à ce point, il avait trop de respect pour certaines femmes pour cela, ce qui expliquait le cas de Kyrielle… Ou de Leona. Même si déjà, pour lui Leona était une femme, alors que Kyrielle… Eh bien… C'était Kyrielle quoi. Son pote, avec qui il s'entrainait au tir et tout en somme. Oui, il était au courant que c'était une dame, mais il avait du mal à se faire à l'idée. Qu'elle prenne donc cela comme un compliment. Mais quoi qu'il en soit, ce n'était pas cette jeune femme là le problème à l'instant, si tenté bien entendu qu'il y est un problème. Abandonnant les donzelles en robe de soirée, le chef de la pièce s'excusa et se rendit de sa démarche tranquille auprès de Leona pour la saluer avec son ton le plus… Italien. Dragueur ? Mais pas du tout, c'était tout simplement son ton habituel, qui faisait qu'on avait l'impression que peut-être… Oui, enfin bon, il savait s'adresser aux dames quoi.

" Leonita, sole mio. Qu'est-ce qui t'amène dans le coin ? Aucun souci avec les transports j'espère ? "

Car bon, si il y avait un souci avec l'argent du casino, soit l'argent de la famiglia, soit l'argent dont il avait la responsabilité (oui ça fait beaucoup soit) il aimerait bien le savoir pour régler cela au plus vite tout de même. Ce serait dommage de laisser trainer les choses. Mais il pouvait aussi espérer que Leona soit là pour ses beaux… Enfin, son bel œil quoi. Il ne fallait pas trop rêver ? Oui, c'est vrai, mais passons. Passant son bras autour de celui de la jeune femme, il l'entraina près du bar avant de la relâcher pour s'assoir. Eh bien quoi ? Il valait mieux discuter dans un endroit confortable et à l'abri des clients, si le sujet était déplaisant. Mais ne semblant pas trop inquiet pour le coup, le borgne ne manqua pas d'adresser un sourire en coin à la contractante d'Ile sole avant de reprendre la parole.

" A moins que tu veuille juste prendre un verre avec un vieille ami ? "

Eh bien quoi ? Boire un verre était toujours plus agréable à deux, alors si en plus on combinait cela à Leona qui avait tout le temps besoin de boire à cause de son pouvoir (de l'eau bien heureusement… ) Cela était plutôt crédible non ? C'était à voir, en tout cas, il était curieux de voir ce que la jeune femme lui apportait comme nouvelle… Ou même de savoir si elle passait juste par là et qu'il lui était tout simplement tombé dessus par hasard. Peut-être qu'elle attendait quelqu'un ? Un rendez-vous galant et qu'il l'avait kidnappé rien que pour lui dans l'ignorance ? Ah ah, ce serait drôle, mais tellement surprenant de Leona.
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Leona Giamazzi - Il Sole
Sole B
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Prénom & Nom: Leona Giamazzi
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MessageSujet: Re: Le soleil et l'ermite sont fait pour s'entendre... Si si ! [pv Leona] Le soleil et l'ermite sont fait pour s'entendre... Si si ! [pv Leona] EmptyJeu 18 Juin - 15:53

Le casino pouvait déclencher plusieurs réactions toutes plus intéressantes les unes que les autres et que Leona connaissait presque par cœur. Tout d’abord, il y avait l’effervescence, la bonne humeur, le plaisir de jouer, de parier, de miser, l’adrénaline de tenter le tout pour le tout, l’orgueil qui s’enhardissait et parfois le plaisir d’avoir de charmantes créatures du sexe opposé à leur côté pour leur souffler à l’oreille des mots d’encouragements, des promesses de récompenses merveilleuses … La spécialité de Priscilla. Promettre la Lune et s’en aller roucouler avec le prochain pigeon un peu trop vaniteux pour lui faire vomir tout l’argent que le malheureux avait amené. Une experte de choix qui faisait le bonheur de leur patron. Puis il y avait ces clients qui venaient simplement pour se détendre et profiter de l’ambiance particulière que la Pièce avait réussi à instaurer en ce lieu ; généralement, ces personnes venaient pour deux ou trois parties et s’en allaient après s’être déshydraté au bar, le visage souriant. Et enfin, il y avait ceux qui hurlaient à la débauche. Et Leona ne savait jamais véritablement si elle pouvait être d’accord ou non …

L’une des premières choses qui lui venait en tête à la contractante du Soleil quand on parlait du QG de son groupe était de loin les tenues de Priscilla qui feraient rougir ce pauvre Luca de gêne. La souffleuse de verre en venait même à se demandait parfois s’il ne venait pas à imaginer sa précieuse Mademoiselle dans l’une des robes que la châtain n’oserait jamais porter. Quoique … Si porter rien qu’une robe lui permettait de mettre fin à son ô-combien-trop-long célibat, elle ne devait pas cracher sur cette possibilité. Et puis il y avait Debito … Les pas de la jeune femme se firent soudainement plus lent en repensant au borgne, son visage faisait soudainement une bien vilaine grimace. Debito, ce simple nom résumait bien des choses.

Debito, aka le contractant de l’Eremita, le chef de la pièce, un des plus grands coureurs de jupon de tout Regalo – si ce n’était de l’île toute entière – et accessoirement, très bon ami d’enfance. Alors pourquoi se rendre au casino presque à reculons ? Tout simplement car cet unique homme avait plus de dossiers sur elle que n’importe qui dans le monde entier, qu’il s’amusait à jouer avec ses réactions et qu’il était plus jeune qu’elle. Oui c’était une raison largement suffisante pour la jeune femme de se mettre à grimacer : Debito était plus jeune qu’elle d’à peine un an, une misérable année et il était mieux gradé qu’elle ne le serait certainement jamais. Sans oublier cette tendre Priscilla qui lui rappelait que malgré sa position de Soleil, son statut au sein de la Famiglia n’était pas très élevé … Ce genre de réflexion avait le don pour miner le moral de la jeune femme qui s’en allait boire de l’eau jusqu’à ce que sa vessie lui ordonne de cesser cette nouvelle forme de maltraitance. Et rajoutons à cela un petit frère particulièrement fan du patron de la Pièce et les journées de la jeune femme pouvait rapidement devenir cauchemardesque, éveillant en elle un démon cracheur de feu qui amusait tout particulièrement les enfants de Regalo. Mais Debito était aussi sans doute l’homme le plus envié de toute la ville … Combien d’hommes tueraient pour être, comme lui, entouré de ravissantes créatures prêtes à tout pour un peu de son attention. Cela en était presque terrifiant et donnait des sueurs froides au Soleil. Elle ne voulait même pas imaginer la possibilité d’un enfant illégitime … L’amitié avait bon dos avec cet homme, mais dans le fond, elle l’appréciait quand même. Ils étaient amis depuis si longtemps, il savait tant de choses sur elle – l’inverse n’étant malheureusement pas applicable, maudit soit-il à tout garder pour lui et à lui cacher sa relation secrète avec Kyrielle ! – qu’elle ne pouvait s’empêcher d’éprouver une forme de tendresse pour lui.

Alors pourquoi se rendre au casino à reculons ?

Le casino n’était pas véritablement son lieu de travail, Leona se chargeant essentiellement des transports d’argents et des finances globales de la Pièce, pourtant, il n’était pas si rare que ça de la voir pénétrer dans le casino à la recherche de l’homme le plus populaire de Regalo pour faire un rapport ou bien recevoir des instructions. En théorie tout du moins, quand il ne s’amusait pas à la taquiner et à la rendre rouge écarlate … Debito était véritablement impressionnant quand il s’agissait de faire rougir son amie … Mais là n’était pas la question ! Tout d’abord, Leona ne porta de jupes ou de robe, c’était tenue de travail presque obligatoire. Alors au milieu de toutes ces femmes plus splendides les unes que les autres, la châtain n’avait qu’une envie, fuir dans le fin fond de son atelier pour faire une colombe de verre et ne jamais ressortir. Et puis il y avait tous ces hommes aussi, qu’elle pouvait trouver charmant mais qui ne la voyaient pas à cause de l’uniforme. Un drame pour son petit cœur d’artichaut ! Sans oublier le patron qui veillait au grain et ne loupant jamais une apparition de la jeune femme.

Mais ce jour-là, alors que ses pieds trainaient de plus en plus, Leona se rendait au casino à la demande d’une certaine blondasse qui l’avait explicitement demandé de venir pour qu’elle puisse lui raconter son dernier voyage en date. Un transport qui avait pris près d’une semaine pour se rendre à Arte et revenir. La jeune femme en avait encore les bras engourdis et n’avait qu’une seule envie : celle de se jeter dans sa baignoire, dormir et de passer sa journée de demain dans son atelier bien aimé. En pénétrant l’intérieur du casino, l’ambiance presque envoutante du lieu et les rires la gagnèrent, la faisant sourire malgré toutes ses appréhensions. « Il faut quand même l’avouer, Debito fait un excellent travail … » se souffla-t-elle pour elle-même alors qu’elle avançait dans la salle cherchant son amie aux deux arguments vendeurs. Elle regarda autour d’elle, cherchant vivement de la tête celle qui avait exigé sa présence en ces lieux, dévisageant parfois quelques visages d’hommes qui lui accordaient des sourires polis quand leurs regards se croisaient.

Mentalement, Leona se demanda combien de rencontres s’étaient faites en ce lieu d’argent et de dépenses ?

« Leonita, sole mio. » Leona sursauta presque, tournant vivement la tête vers l’homme possédant cette voix bien trop intense pour son pauvre cœur, le rouge naissant déjà sur ses pommettes, assombrissant son visage bronzé, alors qu’elle fusillait le coupable du regard. Debito l’avait trouvé avant qu’elle ne trouve Priscilla. « Qu’est-ce qui t’amène dans le coin ? Aucun souci avec les transports j’espère ? » Leona se renfrogna légèrement en croisant les bras, ses joues reprenant lentement une couleur tout ce qu’il y avait de plus normale ; il était normal qu’il s’inquiète pour ce genre de détail en tant que patron de la pièce. « Et bien, en fait- HEY ! » Mais déjà, le borgne avait passé son bras autour celui de son ainée et l’entraina prestement près du bar avant de s’installer avec ce flegme qui le caractérisait tant aujourd’hui. La châtain le regarda, les sourcils froncés et faisant la moue – avec ces éternelles petites taches rouges sur ses pommettes – devant ses prises d’initiatives. Elle n’avait aucunement envie de devoir subir le courroux de ses trop nombreuses prétendantes ou bien de sa petite amie cachée ! Debito lui lança un sourire auquel elle répondit en détournant la tête. « A moins que tu veuilles juste prendre un verre avec un vieil ami ? »

La blonde le regarda en coin avant de soupirer et de laisser tomber son masque de boudeuse, grimpant sur l’une des chaises hautes et s’appuyant contre le bar avant de lui accorder enfin un sourire. Si Debito ne s’amusait plus à la mettre mal à l’aise comme il savait si bien le faire, la jeune femme n’avait aucune raison de prendre ses jambes à son cou en bégayant et rougissant comme une collégienne. Ah ah … sa résistance était vraiment nulle. Leona fit signe qu’on lui apporte des verres d’eau en s’étira avant de se tourner vers son patron et ami. « Et bien figure toi très cher que tu viens de me kidnappé d’un rendez-vous ! » Elle lui tapa la poitrine de l’index, comme accusatrice, le sourire aux lèvres avant d’attraper le verre d’eau venant d’arriver et de boire une gorgé. « Mais Priscilla est introuvable … Je suppose qu’elle est encore en train de plumer un pauvre malheureux ayant ouvert un peu trop grand la bouche … »

Oui, un rendez-vous avec Priscilla. Elle s’abstint de rajouter qu’elle aurait préféré rejoindre un homme ou bien qu’on lui avait posé un lapin la semaine qui avait précédé sa mission sur Arte. Non, vraiment, le Don Juan de Regalo n’avait pas besoin de connaître tous ces petits détails qui lui auraient donné quelques cartes en mains. Leona riait jaune à chaque fois qu’elle imaginait Debito en apprendre plus sur elle qu’il n’en savait déjà. « Oh, et pour la mission … Et bien comme il y avait pas mal à transporter, tu sais que j’avais opté pour une calèche plutôt. On a plus de capacité d’espace et pour retenir les sacs c’est beaucoup plus simple. Mais bon sang, j’avais oublié à quel point la route pour Arte pouvait être aussi horrible ! » La souffleuse de verre fit de grand geste pour montrer son exaspération, son visage montrant son exaspération alors qu’elle posa son front contre le comptoir. « Les roues se sont prises trois fois dans des trous. Et je suis persuadée que mes hommes me confondent avec Pace ! » Elle se releva vivement et se pencha vers Debito. « Ils doivent penser que c’est moi qui possède la force sur-humaine, c’est pas possible autrement ! Ils sont fous, je me suis cassée le dos je te jure, une catastrophe. J’ai pourtant pas la tronche du mangeur de lasagne ! Et ça se voit qu’on est pas du même sexe tout de même … »

Leona en rajoutait beaucoup dans sa gestuelle, son visage expriment sa souffrance comique qu’elle avait vécu. « Je devrais faire plus comme Mademoiselle ! ». Puis un énième soupir, elle vida son verre d’eau d’une traite et en recommanda un autre avant de se tourner vers son ami, avant de sourire de toutes ses dents, comme si libérer son exaspération lui avait libérer du poids sur ses épaules. « Mais sinon, comme d’habitude, aucun soucis, tu n’as pas à t’inquiéter, j’ai veillé au grain. Mais et toi ? Tu as délaissé tes futures femmes pour mes beaux yeux verts et mon corps de déesse grecque ? Je suis presque surprise ! » Un léger rire, elle lança un coup d’œil discret à toutes ces femmes qu’elle savait amouraché du bel italien.

Les malheureuses, elle ne savait pas qu’il était déjà en couple ; c’était du moins ce que se persuadée Leona.
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