Ezio passait une main dans sa chevelure dorée, son sourire affiché sur son visage, ce n'était pas tout les jours de la semaine qu'il pouvait se balader dans les rues. L'enseignant passait son temps à corriger ses feuilles en temps normal, mais comme il avait fini, il se permettait une balade pour se prendre une pizza, cela faisait longtemps qu'il n'en avait pas mangé, puis cela lui manquait un peu. Il remontait ses manches révélant ses tatouages sur les bras. Il sourit doucement aux gens qui croisait son chemin, certains enfants reconnaissant leur enseignant. Il Tournait pour voir les différentes routes qui menait à sa destination, la partie marchande attendait, mieux, la pizzeria l'attendait, rien que d'y penser, il avait faim. Il rit un peu en l'entendant. Il savait que lui et peut-être ceux à ces côtés. Il ne rougissait pas, car la nourriture, surtout une Margherita, c'était sacré. Il arrivait à ces grandes rues, on pouvait voir les gens s'agiter un peu autour de divers magasin. Il avait pas particulièrement froid, même plus chaud, pourtant, le temps venait à se rafraîchir. Il relevait la tête un moment, il vit rien, juste le ciel. Il rit un peu avant de se laisser guider par son odorat, il sentait déjà la douce odeur de la pâte à pizza tout juste sortie du four, les tomates, il ne faisait presque plus attention à ce qu'il faisait, sachant pertinemment, que c'est comme cela qu'il se blesserait bêtement. Il avançait en évitant les gens comme il pouvait, enfin c'était plus ou moins, il commençait à bien connaître la ville où il s'était installé. Il arrivait devant le restaurant et pas de pizza, il regardait l'enseigne, que des spaghettis. Il soupirait un coup, avant de quitter cet endroit qui ne satisferait pas son estomac affamé. Il ne s laissait plus berné par l'odeur enchanteresse, il essayé de repérer de loin une bonne pizzeria, il la trouvait plus loin. Il sourit et se mit à marcher vivement vers cette dernière, c'est ainsi qu'il percutait une dame aux cheveux vert, comme la salade, pas un ingrédient de sa Pizza favorite, mais bon gentleman, il tendit sa main vers la dame qu'il avait renversé. Il sourit un peu, bien que gêné par la situation. Ce n'était pas lui qui était percuter, mais lui qui avait percuter. Sachant que les dames lui faisant cela, lui faisait clairement des avances.

-Pardon, je ne voulais pas vous bousculer, je suis désolé. Vous n'êtes pas blessée ?

Il fallait dire que le choc avait été assez violent, inquiet Ezio, attendait que la jeune femme parle pour le rassurer ou non. En tant que prof responsable, il se devait d'aider cette demoiselle qu'il avait pu blesser par son empressement de remplir son estomac affamé. Voilà qui était un peu fâcheux pour lui. Le prof ne tenait pas à avoir mauvaise réputation, la rébellion et les enfants comptait sur lui. Il n'était pas le plus efficace, mais il pouvait se battre avec force. Il ne bougeait presque plus, sa respiration un peu saccadée.

Ezio était devant cette jeune femme, avec son petit sourire quoique un peu inquiet pour ce qu'elle avait. Car le bel italien était comme cela, il se préoccupait de la jeunesse avant lui-même. C'était quelque chose qui ne changerait pas en lui. C'était une des raisons qui l'avait fait rentrer das la rébellion, ce groupe qui voulait défaire toutes ces histoires de Mafia. Elle avait les cheveux vert, comme un ingrédient de sa pizza favorite. Il sourit à cette pensée, il s'était habitué aux couleurs comme celles-là, elles semblaient être à la mode chez les jeunes en ce moment. Elle le rassurait avec sa petite voix, c'était assez mignon, mais il avait toujours un creux, mais cela pouvait attendre, il ne pouvait refuser une quête d'une jolie demoiselle. Dragueur ? Un peu, mais surtout un garçon galant. Elle semblait inquiète pour une autre personne. Le blondinet se mit près d'elle, il lui saisissait la main et lui faisait un léger baise-main sur l'un d'entre elles. Il lui souriait doucement.

-Puis-je vous aidez dans votre quête de la chose que vous avez perdu ? Je connais cette vile comme ma poche, il va sans dire que vous aurez là un guide de choix, poli et souriant.

Bien sûr Ezio lui lâchait la main, il n'allait pas abuser, cette jeune fille était mineure, donc il devait faire attention. Il tenait à enseigner encore de longues années à Nordia, cette ville qui était devenue la sienne. Il ne cachait même pas ses tatouages, les manches un peu relevées, on pouvait en voir certains d'entre eux. Il sourit simplement attendant un peu sa réponse. Il choppait une pomme et la payait avant de se mettre à grignoter un peu, c'est qu'il avait toujours faim avec tout cela. Il avait bien envie de faire un détour, mais ce qui comptait pour le moment c'était cette demoiselle perdue dans la ville qu'il habitait. C'était le plus important pour le moment. Il croquait dans sa pomme à pleine dent, on pouvait dire qu'il était beau, il en faisait craquer plus d'une, il le savait bien. C'était un homme conscient de ses charmes et qui en usait quand il le voulait, préférant les jolies femmes. Qu'importe leur physique tant qu'elle ne faisait pas trop jeune. Ce qui était la cas de cette demoiselle au combien charmante. Donc il la guiderai dans la ville à cela sera tout. Il sourit et jetait d'un geste habile le trognon dans la poubelle. Il rit doucement, il réussi à la mettre dedans, si ce n'était pas la classe. Faudrait qu'il reteste en classe, il va se rater, se connaissant bien. Il essuyait es mains sur son pantalon sombre. Ne voulant pas trop tâcher sa chemise claire.

-Je me nomme Ezio, enchanté de faire votre connaissance.

Bien que la rebellion ne voulait pas qu'il dise son prénom, il n'énumérait pas son identité complète, c'était un effort surhumain. Il sourit à cette demoiselle, il faisait tout pour être le plus charmant des hommes. Tout façon était un gars bien.

Ezio, toujours plein de joie, parce que même son estomac affamé ne lui faisait pas perdre de vue la demoiselle. Et dieu savait à quel point ce mec adorait la pizza. Un truc de fou. Elle le remerciait, c'était déjà une bonne partie de la rançon de son service. Le prof n'était pas un manipulateur, c'était quelqu'un de simple, protégeant les enfants de toutes ces capacités. Le rouge lui allait bien, comme la sauce tomate sur son plat favori. C'était quelque chose de dingue. A sa description, le blond était d'un côté un peu déçu de remarqué qu'elle courrait après un garçon. Il se disait que son ami avait bien de la chance, loin de s'imaginer ce que cachait cette dame. Il se disait que des bruns ici, ce n'était pas rare. Pas comme ses cheveux verts, très remarquable. Impossible qu'il perde une demoiselle si mignonne et particulière. A son exclamation, un sourire se peignait sur le visage du prof. Cette petite, il aimait bien. Elle avait cette expression joyeuse, c'était contagieux. Sautant sur place, elle avait fière allure avant que son estomac se faisait entendre. Le membre de la rébellion voyait là l'occasion de manger, une pizza, bah oui, pourquoi changer une équipe qui gagne ? Il s'approchait de la dame.

« Il serait mieux de vous restaurer, mademoiselle. Je vous propose qu'on mange et après, nous nous hateront après votre homme, il doit s'être arrêté pour manger, j'en suis sûr, ou alors il va s'épuiser en sautant u repas. Je ne veux pas que vous aussi. »

Ezio appuyait ses dires avec un clin d'oeil qui se voulait un eu charmeur, mais surtout rassurant. Il n'allait faire aucun mal à cette dame. Pour lui, elle n'avait rien d'un es personnes qu'il détestait. L'enseignant se dirigeait donc vers la pizzeria. Le gars qui faisait ces dernières reconnaissait directement le blondinet. Il fallait dire que c'était un gros habitué. Ce n'était pas la première fois qu'il venait avec une fille. Donc le patron de cette enseigne l'encourageait avec des gestes qui n’appartenait qu'à lui.

« Entrez donc, Sergio est un des meilleurs préparateurs de Pizza que je connaisse, ne vous en faites pas, je vous invite, c'est normal pour un homme de le faire pour une dame si pleine d'énergie. Comme d'habitude, patron. Et vous demoiselle ? »

Le patron râlait comme quoi c'était lui, le meilleur et qu'il allait le prouver, Ezio ne demandait que ça. Il se dirigeait vers un table et attendait que la dame vienne s'installer, il avait tiré sa chaise. En bon homme bien élevé, ce qui jurait un eu avec ses tatouage ? Mais contrairement des autres hommes, ses dessins étaient là pour garder en mémoire certaines choses. Le joli était un bon plus. Il souriait, se faisant le plus engageant, ses yeux bruns exprimant une joie presque enfantine. Il restait un enseignant, un homme ordinaire qui se battait contre des forces qu lu étaient supérieures. Il restait planté, il avait tout le temps lui, c'était elle qui voulait rattraper un garçon, pas lui. Il aiderait, mais dans la mesure de ses capacités.