Cavaleri Ezio L.

"Qui va piano va sano"

Si Ezio avait un seul mot pour le décrire, c'est adorable, il suffit de le voir avec les enfants, toujours là pour les aider, leur expliquant la matière avec grande patience, il les adore, il est capable de tout pour eux. Il le montre bien, c'est un homme des plus gentil, du moins avec ceux qui ne font pas partie de la mafia. Il les déteste de tout son cœur, ils ont volé la vie de nombreux innocents et jetés le pauvre homme hors de sa ville, le bannissant à tout jamais. Dans cet état il est capable du pire, même de tuer, se battre jusqu'à l'inconscience vienne le stopper, c'est un têtu, se laissant pas abattre encore moins avec les criminels.C'est la seule façon pour les gens de rencontrer l'autre face de ce prof si lumineux. Le proverbe dit que pour chaque lumière, une part d'ombre égal prends naissance.Son point faible est les gosses, menacer un enfant, il fera tout ce qui peut pour le sauver... Il tient à ces jeunes gens plus que tout. Ses relations amoureuses ? Elles ne sont pas en reste, il est plutôt beau gosse et aime en profiter, il connaît les plaisirs de la chair, il prendra cependant son plaisir avec des femmes consentantes et majeures. C'est une personne pleine de faces, il vit très bien comme cela, c'est quelqu'un d'équilibrer. Ces connaissances ne sont pas infinies, mais il fait tout pour combler ses lacunes et permettre ainsi de donner le meilleur cours qui soit en étant un prof aimé, car toujours à l'écoute des soucis de ces jeunes gens. Parfois, il est maladroit, il ne fait pas exprès de tomber alors que rien semble fait pour le faire tomber. Son plat favori c'est la.... la pizza margharita, parce ce que c'est le symbole de l'Italie et que c'est pas chiant à cuisiner.

Ezio est blond, pas platine, mais blond tout de même, il n'en est désavantagé, que du contraire. Son sourire enrouleur plaît aux personnes qui rencontrent, il en abuse parfois, surtout quand il drague, mais sa façon d'enseigner est calme, bien que parfois un peu sévère, une main de fer dans un gant de velours. Voilà ce qui pourrait qualifier sa façon de faire. Qui plus est, il est semble toujours passionné, même si le sujet parait anodin. Cela permet, même à certain réfractaire d'aimer au moins ses cours. Sa voix est suave, sans trop exagérer non plus, ses vêtements sont simples. Il aime s'habiller comme il le souhaite, si l'italien à l'air beau et classe ce n'est pas toujours fait exprès. Ses yeux bruns expriment généralement sa grande gentillesse, mais parler de mafia toute lueur chaleureuse disparaîtra de ses pupilles. Sa peau est tatouée, bien qu'il la cache la plupart du temps en cours pour éviter que ces élèves suivent son exemple. Il arrive des moments où les pansements s'en vont et laissent voir les dessins sur le corps de cet homme. Loin de le défigurer, ils sont disposés de telles manières qu'il ne soit pas disgracieux, chaque tatouage à son histoire propre, il la raconte parfois, mais il garde ses secrets pour lui. Seul son sourire est là pour guider les gens. Son coté maladroit le blesse par moment, mais il se relève avec panache de ses chutes. Cet homme oscillait entre plusieurs types de style capillaires, entre la simple coupe au carré de style décoiffés étudiés en passant par un style que lui semble porter à la perfection, lui donnant un air plus adulte. Car il ne faut pas le nier, parfois Ezio à l'air d'un gamin. Cela ne le dérange pas plus que cela. Il en rit souvent avec ses chers élèves. Il porte parfois des lunettes, pas pour faire genre, non, juste que ces jeux n'ont pas dix.

Tradimento, une ville d'Italie comme bien d'autres. Là-bas y vivait la famille Cavaleri, point une famille mafieuse, mais une famille qui avait le goût pour l'enseignement et ce depuis des générations déjà. Ezio déjà tout jeune se destinait à ce métier merveilleux, bien qu'il ai une une fâcheuse tendance à écrire sur ses bras. Bien que tout jeune, il n'aimait pas avoir ses parents à dos, il ne pouvait que les remercier en ce moment. Ils lui ont transmis cette passion pour ce qui est transmettre le savoir aux générations futures. Son parcours scolaire est semé d'embûches, il a des difficultés parfois à suivre, mais il n'abandonne pas. Il sait ce qu'il veut faire et fera tout pour y arriver. Après des années de bataille acharnées, il obtient son diplôme heureux comme jamais, il fait la fête avec ses potes de l'époque dans une boite de nuit, c'est là qu'à moitié bourré, il se fait tatoué son premier dessin, un C stylisé sur un soleil doré avec le nom de sa famille dessus dans un bandeaux. Il est fier comme un paon. Il le montre à ses potes. Il rentre chez lui, gai comme un pinson. En voyant son tatouage, ses parents s'insurge et lui crie dessus. Le jeune homme hausse les épaules et leur dit qu'il fait cela par ce qu'il était fier d'être un Cavaleri.
Les années passent et Ezio se fait progressivement son nom dans le monde de l'enseignement, bien qu'il ai un tatouage, il est loin d'être un voyou, il se fait respecter de ses élèves, même mieux les gosses l'adore, au moins leur prof était quelqu'un d'original, son nom prenait de l'importance, faisant de sa famille des imminents enseignants. Sa vie prend un tournant ordinaire, il se fait tatoué sur la hanche des ailes représentant les enfants dont il s'occupe chaque année. Rien ne changeait jusqu'à l'année de ses vingt deux ans. Des hommes débarquèrent dans sa salle de classe comme si rien n'était.

-Je ne vous permet pas d'interrompre mon cours. Je vous serez gré de sortir de ma classe et d'attendre que la fin des cours soit sonnée.

A ces mots les hommes sortirent des armes et les pointèrent au hasard sur ses élèves. Horrifiés, les jeunes se mirent à courir dans tous les sens tentant de s'échapper, il voulait les protéger, quitte à lui mourir. Il se mit devant ses chers élèves le protégeant de son corps.

-Vous allez nous suivre sans discuter, on doit trouver des porteur de cartes.

Il soulevait sourcil perplexe, il ne comprenait pas de quoi parlait ces hommes, mais cela ne sentait pas bon pour eux. Il regardait les hommes, il ne tuerait pas ces enfants, surtout si l'un d'eux possédait une de ses fameuses cartes. Il fronçait les sourcils. Il respirait à fond et parlait doucement aux enfants.

-Je vais éloigner ces messieurs rester le plus tranquille possible.

Ezio se précipitait vers les homme qui pointait leur arme, c'était du suicide, mais il devait se battre pour ces enfants. Il frappa un premier ce qui faisait réagir les autres, il s'occupait à tabasser le prof sans aucune forme de procès, l'enseignant donnait des coups avec toute sa force qu'il pouvait aviir, il connaissait que quelques bases d'art martiaux en tout genres. Les enfants criaient, un des gars avait saisi l'un d'entre eux. Il grognait un peu en les voyant faire.

-Lâchez ce pauvre enfant.
-Seulement si tu te calmes, le prof.

Ezio se calmait en regardant ce pauvre enfant dans les yeux, il pleurait. L'enseignant sentit son cœur se serrer. Il ne pouvait sacrifier un enfant, il arrêtait ses coups, les hommes profitèrent de ce moment pour blesser aux bras le jeune instituteur. Il cria sa douleur, en voyant le sang, les jeunes se mirent à crier. Il leur surit faiblement et le les regardait avec une infinie tendresse. Il se battait pour eux.

-Tu sais quoi le prof, tu n'as pas à te mêler aux affaires de la Famiglia Momento. Pour ton audace, on va faire en sorte que tu n'enseigne plus dans la ville. Mieux que ta famille n'enseigne plus.
-Laisse mes parents en dehors de cela...
-Alors part de cette ville et n'y reviens jamais, sous peine qu'on mette notre menace à exécution. Et qu'on tue cet enfant.
-Non, pas ça...
-Bien, il a compris, les gars emportons les gosses et laissons monsieur le professeur se vider de son sang.

Avec ses dernières forces, Ezio tenta de se lever pour empêcher la chose d'arriver, mais il tombait bien vite dans l'inconscience. Il se réveillait trois jours plus tard dans une maison soin hors de la ville. Il se mit à pleurer la perte de ses jeunes élèves. Il voulait frapper le lit, mais une infirmière qui était tombée sous le charme de son jeune patient le forçait à se calmer avec des mots doux. Il rageait, il devait quitter la ville, pour sa famille, pour ces enfants. Jamais il pardonnerait aux Momento cette trahison. Il respirait à fond et sourit doucement à la dame qui prenait soin de lui. Il passait un moment dans la maison de soin. Il sortait de là avec des cicatrices sur les bras. Il soupirait, il n'avait plus de boulot, il devait trouver une autre ville où vivre, après quelques mois de recherches accumulant les petits boulots dans divers bars, il s'installait à Nordia. La ville semblait bien plus amicale que son ancienne. Il faisait des grands efforts, il voulait à nouveau enseigner, bien que la menace Momento planât au-dessus de sa tête, il n'abandonnait pas. Ce qui plaisait à un directeur d'une école de la ville, il était à nouveau à sa place avec les enfants. Pour fêter cela, il alla se faire tatouer des ronces sur les bras, masquant habillement des coupures qu'il avait reçu lors de la bataille, ainsi qu'un crâne en feu dans le creux de son cou. Représentant la mort qu'il avait frôlée de peu. Il alla dans les bars pour fêter sa nouvelle place. Il buvait comme jamais il avait bu jusqu'à présent, se saoulant jusqu'à plus soif, râlant sur les Momento qu'il lui avait volé toute sa vie. Il s'étranglait quand un homme le saisissait par le col de son haut. Il grimaçait de douleur aussi, car son tatouage était encore frais donc douloureux. Il se tournait et vit un mec. Il soulevait un sourcil.

-Laissez-moi ! Fichu, Momento.
-Arrête de râler et suis-moi, je vais te donner une solution pour les éliminer.

Ezio sentit alors les effets de l'alcool diminuer dans ses veines, voilà qui était intéressant. Il le suivait dans un autre bar, plus secret, il s'installait en face de cet étrange homme qui lui promettait la lune. Détruire la mafia, voilà un rêve bien utopique pour deux hommes. L'homme se sourit.

-Mon gars, je compte monter un groupe anti-mafia, si tu veux, tu es des nôtres, mais fait attention ne trahis pas notre cause sous peine de voir ta vie écourtée par nous.
-Pourquoi êtes-vous contre la mafia ?
-Chaque membre de notre organisation a son but, moi je te demande ce que tu as contre les Momento ? Non, alors ne pose pas de question, monsieur le prof.
-Comment ?
-Nous avons notre réseau d'information. Tu es des nôtres.
-C'est louche, mais oui, je ferai tout pour que les enfants n'aient plus à se préoccuper de ces affaires de grands.
-Faites comme vous le voulez cher monsieur.
-Je vais leur faire payer leurs crimes.

Il rentra chez lui, euphorique, il riait de longue heures allongés sur son lit. Il s'endormit se promettant de faire un tatouage de flamme sur le plat de sa main gauche, tentant de brûler les ronces qui étaient sur son corps, ces ronces, représentant à la foi son engagement et son passé. Il porte fièrement ces derniers. Il les montre que peu à ses élèves, les masquant avec diverses astuces, pansements et autre pull qui recouvrent ses bras graciles, mais musclés. Chaque tatouage sur sa peau à une histoire, le but n'est pas de se remplir la peau, mais d'enlever les chaînes de son vécu, pour s'en libérer, comme étant enfant, il se dessine dur les bras, sauf que d'autres reproduisent ses dessins pour les marquer à jamais dans la peau d'Ezio. Cet homme qui à présent vit une double vie, il est le cheval de l'ombre, référence lointaine à son nom de famille qui évoque vaguement cet animal. Pour marquer le coup, à ses trente ans, il se fait tatouer cet animal sur le coude, juste en dessous son soleil, sa famille... Il lui manquait un peu, mais il avait mieux à faire, il devait affronter la mafia, enseigner et surtout éloigner ses élèves du courroux de cette société secrète, mais pas trop. Il fallait être complètement aveugle pour ne pas voir que quelque chose n'allait pas droit sous le ciel clément de l'Italie.

Et toi c'est quoi ton petit secret?

"Petite citation"

Pseudo: Ruru
 Âge: 27 ;w;
 Région: Liégeoise en Belgique
 Comment es-tu arrivé ici? Mafia + moi ça fait 2 *w* sinon, je suis un DC xD
 Un mot sur le forum? ITALIA *chante l'ending d'Hetalia*
 Mangas, anime, jeux favoris?

Spoiler:

 Code: écrire ici
 Un dernier petit mot? Si Maël est un pur concentré de méchanceté, vous serez déboussolé que je prenne ce perso ( ou pas *coucou les gens de SoH*) Tiens c'est un code de Tia d'ailleurs *w*

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