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Les papiers administratifs, toute une histoire pour pas grand-chose [PV Aveil Emefel]

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Mathilda Stanford
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MessageSujet: Les papiers administratifs, toute une histoire pour pas grand-chose [PV Aveil Emefel] Les papiers administratifs, toute une histoire pour pas grand-chose [PV Aveil Emefel] EmptyMar 28 Oct - 23:40

Je le déteste, mais alors je le déteste du plus profond de mon âme quoique ce soit mon paternel... Son cerveau n'a pas vraiment tilté que cela ne faisait même pas une semaine qu'on était là, je ne parle pas un traître mot italien et j'arrive à peine à écrire cette langue. Non, monsieur a décidé de partir en randonnée artistique aux quatre coins de l'île pour mieux la découvrir qu'il dit dans sa lettre.

Surtout qu'il m'a laissé ses papiers administratifs fait mais, je dois les apporter cela ne m'aide pas vraiment. Je soupire pour là je ne sais pas combien de fois depuis que je me suis levé ce matin, l'idée germa dans ma petite tête de brunette de me faire un carnet avec des phrases importantes pour pouvoirs communiqués avec les habitants de la ville.

La première page du carnet que j'avais difficilement déniché dans ma valise est « excusé de mon comportement mais, je ne parle pas encore bien l'italien » ben à par dire bonjour ou merci je ne parle pas des masses cette langue, surtout que... si je reviens moi-même sur mon attitude c'est que j'ai un peu compris que j'agissais de façon égoïste mais, en fait je m'en fiche plutôt pas mal de jouer les égoïstes ou non. Bref, j'ai marqué plusieurs phrases polies et bien écrites pour me faire bien comprendre même si cela m'importe peu enfin voilà si je commence à batailler intérieurement je vais en avoir pour des heures.

J'ai passé outre à ma bataille entre mon cerveau et mon caractère tout en finissant d'écrire sur mon carnet ensuite regardé les papiers de mon paternel pour voir le plus important quand d'une enveloppe tombe des papiers puis un bon petit paquet de... Non ! Il a osé faire cela, je frotte plusieurs fois mes yeux et me pince à plusieurs endroits, mais il a osé faire cela. Des chèques, il doit en avoir au moins une vingtaine, maudit paternel qui ne fait confiance à personne depuis qu'on a quitté l'Amérique et son notaire... comment il s'appelait déjà... Marc bidule chouette bref on s'en fiche de cela. Donc j'avais trouvé le plus important : Trouver un nouveau notaire à cet imbécile de paternel enfin je ne sais pas s'il l'a pas déjà trouvé toute seule, un bout de papier avec un rendez-vous avec un certain Aveil Emefel dans la ville de Nordia à quelques heures de Regalo

Je fourrai tout à nouveau dans l'enveloppe (en maudissant au passage mon paternel encore une fois pour mon plaisir personnel) pour le mettre dans mon sac puis sorti de la maison partie voir ce notaire. Il me restait plus qu'à le trouver ce notaire en espérant qu'il me comprenne avec le carnet. Bon me voilà devant le bâtiment du notaire après avoir sûrement, même certainement tourné en rond une bonne heure après être arrivé dans la ville de Nordia et en demandant mon chemin avec mon mini-dico italien que je garderais comme le carnet maintenant. J'entre dans la bâtisse pas vraiment rassurée avec le vigile. Je fis un signe de tête avec un sourire puis part m'asseoir en attendant, je préfère cela que de m'attirer des ennuis surtout dans ma situation.
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Aveil Emefel
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MessageSujet: Re: Les papiers administratifs, toute une histoire pour pas grand-chose [PV Aveil Emefel] Les papiers administratifs, toute une histoire pour pas grand-chose [PV Aveil Emefel] EmptyLun 3 Nov - 17:46

Que l’on acceptait de le croire ou non, l’emploi d’Aveil reposait essentiellement sur la communication. Il fallait dire que le milieu n’était pas nécessairement des plus attrayant pour le commun des mortels et qu’il fallait parfois savoir trouver les bons mots. La soirée précédente avait été grandement occupée par un client des plus particuliers. Celui-ci offrait une opportunité sur laquelle l’usurier ne pouvait que loucher. Il s’agissait d’un nouveau fond de commerce outre mer visant à fluidifier les échanges commerciaux. Autrement dit, une porte ouverte aux transferts d’argents par un contrat permettant des taux très bas. Car oui, c’était bien comme cela que le métier fonctionnait. Il n’y avait que très peu d’argent qui appartenait à l’agence. Bien souvent, les sommes pouvant être empruntées étaient celles d’un tiers n’habitant pas même l’île. Effectivement, c’est ainsi que les taux de l’ordre de 1.2% pour l’entreprise passaient à 17% jusqu’au particulier; chose qui était loin d’être déplaisante pour les affaires. Les affaires étaient bonnes pour l’heure mais le jeune homme n’aurait jamais manqué une occasion de les faire fructifier. Après tout, plus que de profiter des plus démunis, il lui fallait bien honorer ses dépositaires.

Me diriez-vous, comment convaincre un si gros poisson de s’intéresser à cette entreprise au profil quasi hors-la-loi et rapproché bien souvent des systèmes mafieux, ce qui aux yeux du brun n’avait rien à voir bien évidemment. En ses talents de fin littéraire, Aveil était sans aucun doute un beau parleur, il avait ses secrets, ses atout. Il n’y  avait pas de surprise pour convaincre un homme de choisir cette entreprise plutôt qu’une banque moins rentable mais plus sure. En fait, il y avait une astuce, ou plutôt deux : L’alcool et les femmes. Certes, c’était beaucoup de suspens pour quelque chose d’assez basique mais généralement, le commun des mortel était assez sensible aux besoins primaires. La soirée avait donc suivit son cours jusqu’à ce que le poisson éblouit par le vin et les femmes se décide à conclure l’affaire avec un taux d’alcoolémie peu raisonnable dans le sang. Mais bon, que voulez-vous, comment expliquer à son patron que l’alcool et les femmes avaient eu raison de lui ? Bien sur, c’était là des choses à mettre au silence. Pourtant, on ne pouvait pas dire que l’usurier y avait passé du bon temps.

Il restait encore aujourd’hui pour lui difficile d’accepter l’exploitation des femmes de cette façon. Pour sur, il les aimaient et les respectaient. Il lui était encore nécessaire de les voir comme un outil de travail ou encore une marchandise sans âme pour passer une de ces soirées dans un semblant de tranquillité. La gêne était une drôle de chose lorsqu’il n’éprouvait aucun remord à avoir certainement envoyé plusieurs filles dans ce genre d’endroits pour éponger leur dette. L’alcool n’était pas un problème en soit, il en avait l’habitude, il devait en avoir l’habitude. Après tout, qu’y avait-il de plus mal élevé que de laisser le client picoler seul. Par ailleurs, il appréciait l’alcool. Néanmoins, il fallait admettre que cette soirée avait été compliquée. Il avait fallu attendre que le poisson roule presque sous la table pour qu’il pose son stylo sur le papier. autant dire que le patron n’était pas vraiment rentré dans un Etat glorieux. Après avoir prit la peine de faire raccompagner le poisson à peine capable de marcher, il avait fait la seule chose que toute personne seine d’esprit aurait fait après une telle cuite, il était aller dormir. Bien évidemment, comme malheur s’en suivaient, son lever fût plus chaotique que jamais. Il ne croyait pas avoir participé à un jeu à boire et pourtant sa tête ainsi que son estomac semblaient clairement lui dire le contraire. A côté de cela, il y avait Febe pour le traîner à un bureau afin qu’il signe la carte qu’il n’avait pas rédigé lui-même remerciant gracieusement le poisson pour sa confiance et le contrat au cas où celui-ci l’aurait oublié entre temps.

Ce devait être la première matinée en une éternité que le brun avait pu passer ainsi. Sans un seul rendez-vous de personnes ne sachant parfois pas même ce qu’elles faisaient dans son bureau. Febe avait prît la peine d’assurer exceptionnellement ses premier rendez-vous mais après quelques heures, le patron ne pût plus tenir en place. Après tout, il devait savoir ce qu’il se passait sous son toit, gueule de bois ou non, ce n’était pas une migraine qui allait l’empêcher d’être au plus près de sa seconde âme soeur, l’argent. Les nausées s’étaient bien sure dissipée, l’haleine rafraichie et les vertiges calmés. il fallait conserver un certain standing après tout. Febe laissait le bureau au patron qui posa ses mains parallèles sur les accoudoirs en cuir. Les rendez-vous pouvaient commencer. On ouvrait la porte pour faire rentrer son premier rendez-vous.
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MessageSujet: Re: Les papiers administratifs, toute une histoire pour pas grand-chose [PV Aveil Emefel] Les papiers administratifs, toute une histoire pour pas grand-chose [PV Aveil Emefel] EmptyMer 19 Nov - 3:33

Je vois les personnes qui était là avant moi entré puis sortir du bureau... Je dois bien avouer que plus les heures passent plus je commence à douter de ma présence en ce lieu, satané paternel quand tu reviendras de ton voyage tu es mort de laisser une jeune fille de dix-sept ans se débrouillaient toute seule. Je soupire quand une dame prononce le nom de mon père, j'avance et essaie affin baragouiné l'une des phrases de mon carnet que j'ai appris en attendant mon tour vu que je ne savait pas trop quoi faire en attendant le rendez-vous fixé entre le nouveau notaire et mon père :

-monsieur Stanford ne viendra pas, je suis venue pour le remplacer.

La femme me regarde de la tête aux pieds elle doit me trouver plutôt jeune et surtout une jeune comme moi n'a surement d'après elle rien n'ont fait dans un endroit comme celui-là, mais me fait entrer quand même, je soupire intérieurement soulagé de ma réussite pour le moment, enfin je crois que j'ai crié victoire trop vite beaucoup trop vite... Je me retrouve en face d'un homme, j'aurais mille fois voulu être devant la jeune femme que devant cet homme, calme toi Mathi ce n'est rien tout va très bien se passer en tout cas espère c'est tout ce que tu peux faire dans ce genre de situation. Donc revenons au notaire plongé dans ses papiers heureusement pour moi dans un sens donc j'avance d'un pas plutôt lent et arrivé devant lui j'enlève mon chapeau (moindre des politesses que j'aurais dû faire dès mon entré et je suis tête en l'air pas ma faute), sourit, tend la main et je cherche dans mon cerveau la phrase de présentation du carnet que je connais par coeur, mais que je prononce avec quelque... avec beaucoup de difficulté :

-bonjour, je... suis Mathilda Stanford... fille de Manuel Stanford

Je veux mourir ou devenir une petite sourit, mais surtout je dois trouver la force de continuer à parler à cet homme avec mon mauvais italien, très mauvais italien si j'avais su j'aurais appris cette langue avant qu'on soit sur l'île définitivement et même depuis que j'ai commencé à voyager avec mon père et ce n'est pas vraiment le moment de se remettre en question c'est même carrément inutile dans ce genre de situation, bref continuons :

-je remplace mon père... pour le rendez-vous d'aujourd'hui.

J'ai fini de parler ce n'est pas trop tôt, je peux respirer et je commence vraiment à perdre espoir en ma crédibilité et surtout en ma confiance qui s'effondre entre ma mauvaise connaissance de la langue et surtout, oui surtout à cause d'un père incompétent qui laisse sa fille gérer ce qu'il devrait gérer. J'aimerais pouvoir exploser de rage et envoyer dans les décors tout cela, mais ce n'est tout simplement pas possible il faut que je fasse le travail administratif de mon paternel sinon il va avoir des ennuis surtout qu'il adore cela... En tout cas j'espère que ce notaire est sympa pour arranger mes affaires personnelles et que je me débarrasse de cette corvée au plus vite pour aller flâner dans mon coin ou à faire ce qu'une jeune fille normale de dix-sept ans devrait faire quand elle a des parents responsables et non vagabond comme mon père à moi.
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MessageSujet: Re: Les papiers administratifs, toute une histoire pour pas grand-chose [PV Aveil Emefel] Les papiers administratifs, toute une histoire pour pas grand-chose [PV Aveil Emefel] EmptyJeu 27 Nov - 23:19

Aveil voyait entrer dans son bureau cette jeune fille qui a priori n’avait pas sa place ici. Son premier réflexe fût de se lever devant cette cliente que l’on avait certainement pas fouillée à l’entrée en vue de sa tenue. Tout ce qu’il pouvait espérer était qu’elle n’était pas sous ses airs de bouc émissaire une tueuse à gage capable de le décapiter à mains nues. Lorsqu’elle eut enlevé son chapeau, le patron contourna son bureau afin d’aller lui serrer la main. C’était certes un peu brutal envers une femme et peu galant mais si elle se trouvait en ses locaux, ce n’était certainement pas afin d’avoir une conversation agréable et posée. Il y avait deux possibilités expliquant sa présence ici. La première étant la plus courante, elle venait emprunter de l’argent. Dans ce cas ci, c’était une bien triste pour la demoiselle car bien souvent, ce n’était pas tant elle qui avait besoin de l’argent mais elle restait celle qui se portait garante en signant le contrat que le brun déposait sur la table. Bien sur, pour Aveil, le fait de voir des personnes si jeunes exploitées par leur entourage était accablant mais ainsi allait le commerce et il fallait bien reconnaître qu’un jeune représentait un meilleur garant car multipliait les opportunités de remboursement en cas de fraude au délais. La seconde possibilité, moins courante mais qui trouvait aussi sa place dans ses locaux était le dépôt d’argent. En comprenant que celui-ci était accepté qu’à partir de sommes importantes, sans vouloir porter de jugement, il serait paru surprenant aux yeux du boss qu’elle soit la signataire de la fortune exigée pour un premier placement. Son hésitation fît sourire le brun qui se voulut rassurant.

« Aveil Emefel, je serais chargé de votre entretient. »


Déjà, le jeune homme notait les détails importants à commencer par le fait qu’elle n’était à priori pas d’ici. C’était un détail qui faisait que déjà sa qualité en tant que signataire était restreinte en partant du principe qu’une étrangère aurait plus de facilité à quitter l’île que n’en aurait un local. Après tout, a partir du moment où elle y été entrée, rien ne l’empêchait d’en repartir. Aveil fît signe à la jeune fille de s’asseoir en désignant le siège en face du bureau. Entre personnes civilisées, ils pouvaient bel et bien prendre la peine de s’asseoir. C’était là la récompense de miss Stanford pour avoir prît un rendez-vous. Car rien n’assurait qu’elle obtiendrait à posteriori un prêt ou même un placement. Le patron avait l’immense privilège d’être seul juge dans cette affaire. L’accent est très présent et facilement identifiable dans les mots de la jeune fille. Il s’agit d’une américaine. L’anglais d’Aveil était très basique mais s’il devait faire un effort pour sa cliente, il s’en accommoderait. Pour l’instant , il souhaitait voir à quel point elle pouvait s’exprimer bien que le petit livret en disait long sur la confiance qu’elle avait en sa maîtrise de la langue. Cette attitude avait un côté plutôt attachant. Quel dommage que dans cette situation le brun fût le grand méchant loup. A la lumière du jour il aurait presque pu la protéger. Tout de même, il n’était pas un monstre. Il tenait ses clients au courant de toutes les conditions exercées dans le contrat. Il devait bien avoir quelques exemplaires en anglais rédigé dans un bureau voisin. La suite des mots de la demoiselles vinrent appuyer la possibilité qui était parmi les plus tristes mais malheureusement couramment utilisée de nos jours et dans les familles où l’argent de savait pousser sur les arbres.

« Bien évidemment. En quoi puis-je vous être utile ? »


Aveil n’appréciait pas perdre son temps lorsque de l’argent était en jeu mais il était juste de donner la même chance à ses clients qu’ils parlent correctement l’Italien ou non. Il parlait un peu plus lentement qu’il ne l’aurait fait à son habitude. Il pouvait tout aussi bien demander une aide afin qu’un de ses employés viennent traduire mais ce bureau avait toujours eu une signification intime. Le partage d’un secret parfois inavouable et c’était donc une tradition que de n’avoir que deux partis en cause. Par la même occasion, cela donnait une image plus humaine au buisness bien que dans les faits ce ne fût pas toujours le cas. Le brun imaginait d’hors et déjà une histoire des plus tragiques qui serait censée le faire fondre en larme pour une cause qui ne serait en fin de compte pas son problème. Il était intéressant en un sens de voir comme certains pouvaient se présenter à son bureau comme si ils y cherchaient un réconfort ou encore une épaule réconfortante sur laquelle s’appuyer. La vérité était bien plus simple. Aveil ne leur voulait pas du bien. Qu’ils rentrent chez eux et s’achètent un nouveau toit n’était pas vraiment son problème. pour autant, il ne se désintéressait pas intégralement de ce qu’il advenait de ses clients dans le besoin. Après tout, si leurs projets étaient emplis de succès, ce n’était pas seulement une bonne nouvelle pour son client mais aussi pour lui car il pourrait dés lors récupérer la somme avancée accompagnée des extra de circonstance. Tout le monde gagnait à ce que le prêt soit remboursé. C’était là le plus grand secret pour réussir dans ce monde. Bien évidemment, cette amitié plastique s’arrêtait dès qu’une infraction aux termes du contrat était commise. Il ne fallait pas briser les règles établies par celui qui vous donnait des jambes au risque qu’il vous prenne vos bras.
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