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Je connais un jeu sympas [Pv : Mimi] (part 2)

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Aveil Emefel
Civil Nordia
Aveil Emefel
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MessageSujet: Je connais un jeu sympas [Pv : Mimi] (part 2) Je connais un jeu sympas [Pv : Mimi] (part 2)  EmptyLun 9 Fév - 2:48

On avait souvent tendance à oublier qu’Aveil était quelqu’un de bien. Oui, beaucoup s’offusqueraient de cette appellation à commencer par ses employés et ses débiteurs. Mais il fallait voir les choses autrement qu’avec le regard subjectif de quelqu’un ayant une dent contre lui. Il fallait l’observer de manière objective. Il était maniéré, propre et avait un certain bon sens. Certes, il ne fallait pas comparer bien et bon. Il n’empêchait que l’usurier se mettait au service de la communauté et que mine de rien, ceux qui auraient réussi à le rembourser auraient gagné quelque chose. Maintenant, ceux qui n’y arrivaient pas. C’était là tout le problème auquel il était confronté maintenant. Quel être humain tenant à son entreprise pouvait laisser la première personne le dérober sans rien dire ? Encourageant ainsi la fraude et la fermeture de son buisness? Absolument aucun et c’était tout à fait normal. A présent, la seule chose qui le différenciait de ces commerces, laissant passer cette injustice ou la laissant à des personnes aussi peu compétentes que les forces de l’ordre était qu’il savait faire les choses par lui même. Il agissait pour son bien et celui de ses employés, faisant ainsi bouger l’économie de Nordia.

Jusqu’à ce qu’il faisait était parfaitement légal. Il était en droit de faire travailler ses débiteurs pour son compte pour les dix années à venir si c’était nécessaire car le contrat stipulait qu’il pouvait, tout simplement. Dans ce cas, pourquoi s’en priver ? Ce contrat, même le fuyard l’avait signé car c’était une exigence pour lui prêter de l’argent. Une simple clause en cas de manquement aux engagements liant les deux partis. Néanmoins, il fallait reconnaître à ce contrat ses quelques imperfections. En effet, contrairement aux forces de l’ordre précédemment citées, le recours à la violence n’était pas toléré venant d’un particulier comme Aveil. En conséquence, d’un point de vue tout à fait théorique, il n’avait pas le droit de brutaliser quelqu’un lui devant de l’argent. Désormais, il s’agissait là de la théorie car son contrat, n’étant pas dans l’obligation de retracer la loi, ne lui interdisait pas et donc son usage ne représentait pas une clause de cessation. Autrement dit, non il n’avait pas le droit de casser le bras de ce type mais tant que celui-ci n’allait pas porter plainte il n’y avait aucun problème. Pour qu’il ne le fasse pas, il y avait tout un système fonctionnant sur l’intimidation. A priori, celui-ci était assez efficace étant donné qu’il n’avait jamais eu de problèmes avec la justice jusqu’à présent. Et pourtant, cela représentait déjà deux bonnes années sur cette île pour plusieurs centaines de clients. Il retenait moins leurs noms que les sommes qu’ils lui devaient.

Aveil fût plus que ravi d’entendre ce que son interlocuteur avait à lui dire. Passer plus de temps avec ce personnage représentant un moyen de mieux le connaître et de mieux juger son intérêt sur le long terme, c’était sans aucun doute une bonne chose. Du moins fallait-il encore être certain qu’il se plierait à sa condition de ne pas emmener quelqu’un d’autre. Cela ne ferait qu’amener un élément gênant dans une histoire où il n’avait bien évidemment pas sa place. L’expression du personnage fit légèrement sourire Aveil le brun d’autant plus satisfait. Il aurait après tout été décevant que ce personnage ne soit doué que d’une seule expression. Il fallait bien savoir varier les plaisirs et un personnage sans surprises était un personnage médiocre. Bien évidemment, il n’allait pas le décevoir.

« Tant qu’il est en mesure de payer sa dette. Qu’il soit esquinté ne représente pas un problème. »

C’était là une véritable liberté que l’usurier donnait à son interlocuteur. Oui car croyez le ou non, il n’était absolument pas du genre à inciter ses employés à la violence. Dans un premier temps car il ne souhaitait pas particulièrement leur imposer si ce n’était pas nécessaire, se permettant ainsi des personnes à son service de qualité n’oeuvrant pas pour une satisfaction purement bestiale. Dans un second temps à nouveau à cause de ce fameux contrat qui faisait que le débiteur pouvait porter plainte auprès des forces de l’ordres en cas de dommages physiques. Mais là, il s’agissait d’une personne en dehors de ses services et ayant déjà pour motivation d’attraper sa cible. Autrement dit, aucun lien ne pourrait être fait entre ses dommages et l’entreprise. Bien évidemment, l’argent pourrait être une trace s’il en venait à effectivement payer le roux pour ce service. Mais pour cela, fallait-il encore avoir une trace de fond et qui de mieux qu’une personne ayant pour habitude de jouer avec l’argent pouvait le cacher ? C’était une question rhétorique, merci.

Aveil serrait la main de sa star comme scellant à la fois leur rencontre mais aussi leur accord. Il n’oublierait pas son nom, il n’avait aucun doute à ce sujet. La fin de sa phrase vint apporter une surprise à laquelle le brun ne s’attendait pas. Bien qu’il pouvait dire que Mikelangelo n’était pas n’importe qui, il ne serait pas allé jusqu’à le donner chef de quoi que ce soit. Ce n’était pas un reproche bien évidemment. Simplement, on avait tendance à imaginer d’un chef un… panache différemment exprimé si l’on pouvait dire ? Ou peut-être tout simplement un travail autre qu’être posté à une frontière de la ville. Cela ne dérangeait pas tellement le brun mais le rendait quelque peu curieux vis-à-vis des autres dis « chefs ». Il ne devinait pas qu’il y avait d’autres chefs. Son nouvellement ami lui avait simplement dit dans sa phrase. Cela lui faisait réaliser qu’il pourrait être bon que tout de même par sécurité, il se renseigne vis-à-vis de ces mafias. Même s’il considérait pouvoir marcher tout à fait librement, l’usurier laissait faire le roux à sa convenance pour ne pas enrayer son imagination en pleine analyse. Par dessus son épaule, le brun voyait quelqu’un arriver, dire quelque chose à Mikelangelo. Il fronçait légèrement les sourcils espérant que ce ne serait pas là un imprévu de n’importe quelle nature qui viendrait bouleverser leurs projets même s’il s’agissait de la capture de son fugitif. Cependant, la direction changea alors qu’il continuait de marcher apparemment en direction d’une femme. Il y avait bien des critères de beauté mais en homme respectueux de femmes, Aveil ne se serait jamais permis d’en insulter une. Il eut un regard pour le moins déconcerté envers le roux lorsqu’il entendit sa façon de l’appeler. N’avait-il pas trouvé plus délicat ? Cela avait beau faire partie du personnage, il y avait des limites à tout et pour l’usurier, l’inconvenance en ce sens n’était pas vraiment un critère de qualité. Malgré la gifle de la femme qui selon Aveil était bien méritée, car oui, même lui en beau parleur qu’il était avait reçu des gifles pour bien moins que cela, le brun souriait à la femme comme pour s’excuser du comportement de son ami en son nom. Il fallait bien qu’il contrebalance cet outrage.

Pour ce qui était du reste soit la menace et cie, Aveil ne pouvait pas se montrer en donneur de leçons. Sans cela, son débiteur n’aurait pas fui jusqu’ici en abandonnant tout ce qu’il pouvait lui rester. Oui, il lui arrivait aussi de menacer des femmes voir même de les humilier quand cela était nécessaire mais jamais de bonne volonté. Finalement son ami ne faisait que son métier à cet instant donc autant dire que se mettre sur son chemin ne rimerait à rien et ce surtout quand si quelqu’un devait s’interposer entre Aveil et son travail, celle-ci se retrouverait aux devants de grands problèmes. Il regardait son interlocuteur alors que celui-ci suggérait la destination. Le brun fût légèrement déçu de la connaître tant il espérait du fuyard qu’il serait moins prévisible. Au moins, il préférait faire durer un peu l’instant. Il haussait les épaules, doutant que l’homme en question irait nul part. 

« Et pourquoi ne pas prendre notre temps ? »

Il suggérait tout simplement. L’usurier n’appréciait pas particulièrement courir partout. Sans cela, il aiderait plus souvent ses employés sur le terrain après tout.

Arrivé à bon port, -Tuez moi pour cette blague ignoble- le brun prenait toujours son temps, particulièrement calme pour scruter à droite à gauche. La zone était plutôt dépeuplé ce qui limitait considérablement les chances de voir le personnage se déguiser pour passer pour quelqu’un travaillant ici. Du moins, s’il en avait eu l’intelligence ce qui aurait fortement étonné le brun puisque son fuyard était passé en force à l’entrée de la ville, cherchait à fuir l’usurier le moins tolérant de l’île et venait se réfugier dans l’endroit le plus prévisible au monde. Que de multiples éléments témoignant de sa stupidité malgré son courage. Oui, on pouvait parler de courage dans la fuite. Marrant n’est-ce pas ? Aherm ! Cela faisait beaucoup de hangars à fouille cela dit et pour savoir si le fuyard était un véritable singe qui grimperait sur les fondations pour se cacher sur les toits, c’était encore à décider. Il regardait donc Mikelangelo. Il pouvait bien

« Tu aurais une idée particulière ? »

Il avait bien les siennes mais il attendait de voir ce que ce personnage pouvait lui proposer. Savait-on jamais, il avait peut-être ses idées miracle ou encore complètement catastrophique mais de vous à moi, était-ce si important tant qu’on pouvait y prendre du plaisir ?
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Mikelangelo A. Sperandei
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Mikelangelo A. Sperandei
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Prénom & Nom: Mikelangelo A. Sperandei
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MessageSujet: Re: Je connais un jeu sympas [Pv : Mimi] (part 2) Je connais un jeu sympas [Pv : Mimi] (part 2)  EmptySam 18 Avr - 17:39

Quand on s'appelle Mikelangelo, on est toujours quelqu'un de bruyant, d'un peu trop vif certainement. Il est évident que c'est le genre d'homme à ne  pas poser derrière un bureau. Les quelques fois où il doit le faire, on sent que ce n'est pas son élément hein. D'ailleurs c'est bien la seule partie de son travail qui ne semble qu'assez peu adapté pour lui. Souvent un de ses subordonné est là pour le rappeler à l'ordre et éviter qu'il ne s'éparpille. Un peu comme un enfant en fait. Le rouquin en est un dans un sens. Donnant alors l'impression d'être resté un grand enfant, pourtant il était chef c'est ça. On se demande souvent pourquoi est-ce le cas. Après tout il est bien connu qu'Elysion n'aime pas s'entourer d'incapable. Mais il était toujours là et bien qu'il devait royalement les briser à son patron de temps à autre, c'est qu'il devait être satisfait de ses services hein. Mais quelle image il donne de lui parfois... Comment peut-on dégager une telle joie pour un rien dans cette ville pourtant réputée assez sombre. Il aurait limite d'avantage sa place dans la Famiglia inverse non ? En tout cas, Aveil devait se faire une sacré opinion de notre homme tient. Mais ne semblait pas non plus imperméable à sa bonne humeur, disons qu'il ne faisait pas partie de la catégorie des gens à vite s'agacer en sa présence et tenter de l'envoyer bouler. C'est peut-être ça le pire, trouver quelqu'un de chiant, mais cette dernière a du pouvoir. Et il était évident que dans cette ville, il en avait. Mickey avait tout intérêt à se faire obéir, ses soldats rappliquent au moins claquement de doigt de sa part, c'est son territoire après tout et son lieux de travail. N'aimant guère les bureaux, il se rendait donc sur place. Et avait parfois la joie de faire bouger un peu ses journées en croisant la route de genre rigolo comme Aveil. Parce que oui, quelqu'un qui affirme que ce n'est pas gênant son étant tant qu'il a son argent, c'est quelqu'un de bien voilà tout. Du moins, Mimi vous dirait certainement qu'il a compris comment avancer dans la vie hein. Se faire marcher dessus et s'écraser n'est pas une solution, du moins tout dépends les situations. Mais en fait là n'est pas la question je commence à raconter n'importe quoi là...

Ainsi donc, direction le port. C'est sérieux ? Il espérait quoi ? Quitter l'île par bateau ? C'est bête, mais aucun navire ne quitterait le port sans l'autorisation de notre homme pour sûr ! Ce dernier n'avait peut-être rien fait contre la Mafia et ne serait certainement jamais une moindre menace, mais le simple fait qu'on veuille défier les limites qu'il pose et qu'on lui file enter ses doigts serait quelque chose de fort agaçant. Ainsi, il comptait lui faire payer à sa manière. Ce n'est pas comme si les Momento étaient très regardant hein... Poussant alors le brun devant lui, notre jeune plein de fougue semblait un peu seul dans le délire. Eh bien quoi ? Faut pas être mou comme ça ! On est jeune c'est maintenant qu'il faut bouger dans la vie ! Pas quand on sera trop vieux pour se lever dans son lit ! Tentant de le pousser de temps ça autre, presque par réflexe en fait, le jeune homme lâcha sur un ton léger en haussant les épaules.

- Eh bien quoi t'es pas un vieux. Faut s'bouger tant qu'on le peut !

Eh oui, on sait jamais, peut-être que demain vous allez tomber des escaliers et serait incapable de vous lever hein. Mais bon. Il devait faire partit de la catégorie des gens tranquille, tandis que de son côté c'est une pile électrique... En fait. Soit il ne fait rien, soit il bouge trop. Il n'y a pas de juste milieu chez lui. Mais au moins cela lui laissait le temps de faire le tri dans sa petite tête pour songer aux différents endroits probable pour le fuyard. Une fois sur place, portant sa main à son menton, comme pour prouver qu'il réfléchissait -allez savoir, on pourrait croire le contraire-. L'homme finit alors par pointer du doigt des entrepôt avec un grand sourire. Comme s'il allait proposer d'aller acheter une glace... Oui, il avait la même tête qu'un enfant qui demanderait ça sérieusement.

- Hm là ! S'il veut partir le plus rapidement possible, le mieux serait qu'il soit embarqué parmi la marchandise. Pas de chance, inspection aujourd'hui hin hin.

Oui. C'était un rire débile. En même temps cela donnait clairement l'impression que lorsqu'il se décidait à vérifier que tous le monde est toujours en ordre, faut s'attendre à des débordement et parfois des magouilles. C'est à la tête du client et de ce qu'il transporte hein. Mais y a des types louches, c'est tellement bien de les avoir ceux-là... A votre avis comment gagner rapidement de l'argent pour la Mafia ? Confisquer les stocks des marchands ennuyants ou rebelles, étrangement ça marche bien. Ainsi, il poussa rapidement la porte d'un des grand entrepôt ne cherchant absolument pas à prendre des gants. Puisqu'il hurla presque, provoquant le sursaut parmi les marins qui étaient en train de faire une sieste pour attendre le feu vert du capitaine pour partir...

- Inspection aujourd'hui ! Allez ! Papier et tout et tout les gens. Et en rang, le premier qui fuit aura affaire à moi !

Affaire à lui signifie sortir un pistolet et tirer hein. Sans d'avantage de cérémonies. Tandis que deux hommes étaient en train d'inspecter les diverses caisses et chargements, le roux vérifiait les papiers, mais également qu'ils transportaient bien ce qu'ils affirmaient... Jusque là, tout va bien pour tout le monde. Le pauvre homme derrière lui tient, il l'avait totalement oublié sur le coup... Et le fuyard dans tout ça ? Visiblement, on poussa un tonneau à vin jusque devant le grand rouquin. Affirmant que quelqu'un avait bloqué la fermeture de ce dernier. Un complice ? C'est moche ça. Ignorant le pauvre homme en train d'être secoué dans tous les sens dans sa cachette, Sperandei fit rouler le chargement à côté de lui pour s'asseoir dessus.

- A qui appartient ce tonneau ? Qu'il se désigne. Ou alors on retire tous à tout le monde comme ça, ce sera vite réglé hein. Tournant alors la tête vers son compagnon du jour il lâcha avec légèreté. Que dis-tu de le mettre au feu pour voir comment de temps il met avant de hurler pour sortir et parler ?

… Oui. C'est parfaitement normal d'avoir ce genre d'idée. Au même titre qu'il est courant par ici d'avoir ce genre de menace. Tout prendre à tous le monde si on a pas ce qu'on veut. Étrangement, vous pouvez être certain qu'il se fera balancer pour ne pas perdre tout cet argent après plusieurs mois de labeurs... Les humains sont si facile à avoir là dessus, c'est quelque chose que le rouquin adore dans son boulot.~ Convaincu de l'état de l'esprit du Momento ou bien ça va aller.. ?
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Je connais un jeu sympas [Pv : Mimi] (part 2)

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