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Psychologie quand tu nous tiens [Pv Chealsey]

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Maël I. Tsubaki - Torre
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MessageSujet: Psychologie quand tu nous tiens [Pv Chealsey] Psychologie quand tu nous tiens [Pv Chealsey] EmptyMar 25 Nov - 15:38

Psychologie quand tu nous tiens
Ft. Chealsey & Maël

Maël partant du principe qu'il avait un peu faim, s'habillait rapidement, ses vêtement noir permettant de se fondre dans ce décor, c'était sans penser qu'une fois l'été venu, il se retrouverai dans un sauna avec un tel accoutrement, il n'était pas encore habitué à l'Italie, on ne pouvait pas lui empêcher d'être comme il était à présent. De toute façon, toute personne le freinant se retrouvait confronter à sa folie, penchant qu'il cachait très bien lorsque le boulot venait à lui. Il lâcha un soupir en se voyant. Il passait une main dans ses cheveux sombres, un sourire vint se peindre sur son visage. Il mit ses mains dans les poches, sortant du manoir, son métissage l'empêchait de prendre des couleur, pourtant, il l'aimait son teint trop pâle pour que cela soit raisonnable. Il entrait d'un pas sûr dans la boutique, il se souvenait du dossier qu'on avait déposer sur son bureau, un peu plus tôt. Il était question d'un nouveau membre chez les Momento. Il avait presque ris en voyant les cheveux dorés dans la description du dit patient. Une grimace se tordit sur le visage de l'adulte. Il lâcha un soupir en voyant que l'endroit était quasi désert, il avait vu des boutiques plus animées, mais bon, au moins il était tranquille ou presque. Il avançait, cherchant du regard un instrument digne de ce nom, il fallait qu'il en jette autant que lui, car Maël aimait les choses qui avait la classe, pour lui c'était comme si classe et son prénom était collé l'un à l'autre, il faut avouer que le jeune homme pouvait un air attendrissant par moments. Il s'en foutait complètement. Il haussa les épaules, bien qu'au loin, il voyait une touffe blonde, son patient, ça serait trop beau, prenant un violon d'un geste qui se voulait rapide, il alla vers le jeune homme, avec un petit sourire, un poil sadique sur le visage, on pouvait voir à travers ses iris rouges qu'il avait une chose qui tournait pas rond dans l'esprit de l'homme aux habits noirs. Il posa une main sur l'épaule du blondinet. Un sourire vint se peindre sur son visage. Il verrait le gentil Maël , celui qui faisait tout pour ces patients, mais aussi le mauvais, enfin, il tentait de ne pas mêler boulot et vie pro. Mais c'était sans penser que les membres de sa famille avait besoin de lui. Il fronça le nez. Il prit sur lui le fait que ces deux vies se retrouvait mêler avec monsieur champ de blé. Il fixait le jeune homme.

-Bonjour, je pense qu'on a des choses à se dire, jeune homme, nous vous en faîtes donc pas, je ne suis point un mauvais gars, je viens vérifier votre fidélité à notre noble famille. Cela ne prendra que quelques minutes, je ne vais pas trop empiéter sur votre temps si précieux et le mien.

Maël dégageait cette aura qui se voulait rassurante, mais c'était sans compter sur sa façon d'être un peu loufoque, il aimait voir les réactions des gens ce qui l'avait fait choisir ce métier de sorte de psy. Sa spécialité était le comportement, mais il connaissait les bases de la psychologie et en jouait assez bien.
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MessageSujet: Re: Psychologie quand tu nous tiens [Pv Chealsey] Psychologie quand tu nous tiens [Pv Chealsey] EmptyMar 25 Nov - 20:33

Les clients étaient devenus pour Chealsey une variante influencée par les saisons. Aussi étrange que cela put paraître pour un luthier. Effectivement, les instruments qu’il réparait n’étaient pas tant soumis aux aléas climatiques. Le principal de cette donnée résultait du fait que la majorité de ses clients n’étaient pas musiciens. Depuis qu’il proposait du thé à la consommation, il a avait effectivement agrandit sa clientèle mais soyons francs, qui voudrait d’une boisson chaude par un temps pareil. Il était indéniable que le temps aurait été plus favorable dans une ville comme Londres où les clients consommaient parfois uniquement en vue d’échapper à une averse dans la rue. Le jeune homme ne détestait pas le calme dès l’instant où il percevait son quota de relation sociale. Donc une journée calme n’était pas si difficile que cela. Il aurait sans doute pu profiter de cet instant pour travailler dans l’atelier mais il n’y avait aucune commande urgente. Se penchant sur son comptoir, le blond ouvrit le livre des comptes pour constater ce à quoi il s’attendait déjà. Il n’y avait pas de cours pour aujourd’hui. Il devait donc rester là, chose qui eut très vite pour effet de le frustrer. Connaissiez-vous une chose plus insupportable que de rester debout sans aucune activité annexe ? Le luthier fût tenté de griffonner quelque chose dans son carnet mais se retint, par crainte de ne pas avoir l’air suffisamment sérieux à sa prochaine ouverture mais aussi certainement car ses talents artistiques laissaient clairement à désirer. Afin de ne pas succomber à la tentation, il le referma brutalement avant de le pousser à l’autre extrémité du comptoir bien loin de ses mains inoccupées. Après seulement une vingtaine de secondes, il se reprit en flagrant délit cette fois en train d’enlever et d’enfiler ses gants encore et encore. Certes cette activité n’était pas différente du fait de se tourner les pouces mais elle lui parût soudain comme la meilleure chose au monde. Il se prît si rapidement au jeu que la cloche signalant l’entrée d’un client le fit sursauté. Il laissa les gants sur ses mains, ce n’était pas si mal.

Chealsey chercha du regard la personne qui venait d’entrer. En tant que propriétaire, il était tout à fait légitime de sa part de voir ses clients. Quand il vît enfin la forme dans son entier, il ne pût… Qu’en penser. La première chose qui vint le frapper fût l’action de l’individu. Celui-ci avait prit un violon pour l’emmener jusqu’au comptoir ce qui eut pour résultat de ne pas plaire à l’anglais. Comme si ce nouveau venu l’avait jamais eut vent de la délicatesse d’un instrument de musique d’autant plus que celui qu’il avait prît était excessivement cher. Le coeur du luthier s’arrêta le temps que son client potentiel rejoigne le comptoir. Au regard de celui-ci, il craignit de le voir jeter le violon au sol pour le piétiner ensuite. Laissant ainsi une seule question dans l’esprit du blond : « Pourquoi ?! » Il ne le connaissait pas, ne l’avait jamais vu. Pourquoi diable voulait-il sa mort ainsi ? Les yeux rouges n’étaient pas tant inquiétant, après tout, Elysion les portait mieux s’il on pouvait le dire. Effectivement, c’était là certainement un grand problème pour Chealsey. La personne venant d’entrer apparaissait d’office comme profondément incohérente. Pour torturer le blond ainsi, il devait y avoir tellement de méchanceté. Tant de méchanceté dans un si petit corps ! Oui, c’était principalement ce qui dérangeait le jeune homme. Il n’imaginait pas une seule seconde que quiconque puisse être crédible en grand méchant loup tout en faisant la taille d’un mouflet d’à peine quatorze ans. Les paroles de l’inconnu ne vinrent pas en service à la situation déjà…compliquée. Déjà, le luthier se sentait victime de chantage. La chose la plus ironique là-dedans aurait été qu’on l’aurait fait chanter pour faire quelque chose qu’il fait déjà…? Sa fidélité vis-à-vis des Memento était indiscutable malgré le fait qu’en tant que nouveau membre il était parfois difficile. Il fallait donc qu’il commence par se calmer pour peut-être évaluer une autre possibilité. Celle qu’il ne connaissait pas le prix de l’outil et qu’il l’avait pris car il avait envie. Le plus impressionnant dans l’affaire dût être que rien ne paru sur le visage du jeune homme qui parvint tout de même à sourire poliment aux mots de l’inconnu. Chealsey tendit ses deux mains gantées au dessus du comptoir dans la direction de celui-ci.

« Bien évidemment. Si vous pouviez me laisser vous débarrasser. Laissez moi simplement le temps de fermer boutique, nous serons plus tranquille à l’arrière. »


Oui, le jeune homme n’émettait absolument aucun doute quand au fait que cette personne était au service des Memento. Pour disposer d’un teint aussi pâle, d’yeux rouge et d’un sens du détail permettant de sentir au premier coup d’oeil ce qui ferait frôler au nouveau la crise cardiaque, ce n’était certainement pas l’Arcana. D’autant plus que sa situation était grandement mise sous silence au même titre que son identité. Sans cela, il n’aurait pas pu continuer à travailler à Regalo ainsi. Le blond venait bel et bien de proposer de se rendre dans l’arrière boutique. Cela devenait une mauvaise habitude. Pourtant l’état de cette pièce s’était améliorée du fait que la première visite extérieure avait déjà eut lieu à son plus grand regret. Chealsey se déplaça afin de retourner le panneau surplombant la porte puis ouvrit l’accès de la porte de l’atelier qu’il fallut traverser avant d’arriver dans le salon, ne nous mentons pas, encore bien foutoir. Le canapé et la chaise se faisaient toujours face du jour où Kyrielle était venu. Ce n’était pas plus mal. L’anglais désigna vaguement l’espace afin de ne pas se voir imposer à son « examinateur » une place. Il prendrait l’autre. Il profitait malgré tout de cette occasion pour demander.
« Je suis Chealsey Hawkwood. Vous disposez peut-être d’un nom que je puisse utiliser ? »
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MessageSujet: Re: Psychologie quand tu nous tiens [Pv Chealsey] Psychologie quand tu nous tiens [Pv Chealsey] EmptyMer 26 Nov - 10:38

Psychologie quand tu nous tiens
Ft. Chealsey & Maël

Maël était fier de son petit numéro, quand bien même ses yeux rouges n'était rien comparé au grand Elysion, il avait quand même assez effrayant, il faisait tout pour ne pas être trop fréquentable. Après tout se lier était pour lui une forme de faiblesse, il ne ferai que répéter les erreurs qu'il avait eu tout au long de sa vie. Il sourit comme le sadique qu'il était, il avait être beau être petit en taille, il était un membre de la famiglia Memento, pas n'importe qui, une arcane majeure. Le hasard avait fait qu'il avait été compatible. Il souleva un sourcil, le blondinet se prenait sûrement pour plus fort. L'homme aux cheveux sombres serra les dents avec rage. Il écoutait les paroles de ce gars, fermer boutique, il tenait donc à son commerce, voilà une information que le comportementaliste n'oublierait pas de sitôt. Il retint un rire, ce n'était pas le moment de laisser libre cours à son hilarité. Il vit bien que le blondinet fermait boutique, un luthier, un métier que l'homme aurait pu apprécié, malheureusement, il était plus intellectuel que manuel, pas faute d'avoir essayé, il y a fort longtemps, malgré sa taille d'un gosse, c'était un adulte depuis des années maintenant. Il jouait de son apparence pour avoir des réductions et des choses qu'il n'aurait pas du avoir. Il pianotait sur le bureau de l'homme qui tenait cette boutique avant de le suivre dans l'arrière boutique, traversant l'atelier parfaitement rangé. Il se mit à rire intérieurement en le voyant mis en désordre par ses soins, juste pour voir la face de ce type se décomposé devant lui. Le salon par contre était en désordre, l'ordre se limitait à son boulot, il eut un léger ricanement à cette pensée. Il allait se mettre dans la chaise, quand bien même elle était moins confortable que le canapé, pour lui le divan était réservé aux patients, ce qui ne l'empêchait d'en avoir un dans le lieu où il dormait, un endroit idéal pour penser au futures tortures qu'il ferrai aux pauvres gens. Il passa une main dans ses cheveux sombres. Il entendait l'homme se présenter, alors il n'était pas le seul étranger qui faisait partie de la Famiglia Momento. Il demandait si il pouvait utiliser son prénom. Ses pieds peinaient à toucher le sol, mais le frôlement du plancher des vaches rassurait un peu l'homme, pas qu'il avait le vertige, non, loin de là mais il aimait sentir le sol sous ses pieds. Il sourit doucement et fit un geste de la tête afin qu'il s'installe, il pouvait commencer le boulot.

-Maël Ignatius Tsubaki, je vous prierai de vous installer, je ne vais pas vous évaluer physiquement, quand bien même vous pouvez plaire aux demoiselles par cela, ce n'est pas mon affaire à présent. Donc je suis là pour faire mon boulot.

Maël balançait ses pieds doucement sur la chaise, comme quoi être court sur pattes pouvait permettre d'occuper son temps comme cela. L'homme avait beau être plus grand, ce n'était pas le genre de choses qui ferait reculer l'homme, il avait vécu des situations bien plus difficiles que celles-ci. Sa solitude en faisait partie, bien qu'il appréciait cet isolement des autres, surtout après la perte de cet homme qu'il avait aimé comme un fou. Il restait plus rien de cet homme qu'il avait été. La tendresse c'était pour les couillons. Il aimait sa situation actuelle, faire le méchant, c'est classe. Il ne changerait pas son engagement envers Elysion, après tout par son discours, il avait été séduit, lui qui n'aimait pas se plier aux désirs des autres et voulait être le chef, courber l'échine devant le boss de la Famiglia ne le dérangeait absolument pas. Un sourire vint se perdre sous les pensées de l'homme aux habits noirs. Il arrêta le mouvement de ses pieds.

-Je vous prierai de me nommer Monsieur Tsubaki, on est pas assez intime pour que vous utilisiez mon prénom Monsieur Hawkwood.

Maël révéla le menton fier de ses mots, ses yeux écarlates brillant d'une malice infinie, il s'en passait des choses dans sa tête. Il n'invoquerait pas son pouvoir après tout il était en présence d'un membre de la Famiglia, dans les mafia, la famille c'était intouchable, à moins qu'être Momento changeait tout...
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MessageSujet: Re: Psychologie quand tu nous tiens [Pv Chealsey] Psychologie quand tu nous tiens [Pv Chealsey] EmptyMer 26 Nov - 18:46

Le choix de la chaise était une chose que le jeune homme avait toujours du mal à cerner. Cette fois encore, son invité avait choisit ce siège et non le canapé. Pourtant, il était bien connu que le premier choix était de loin le plus confortable en comparaison d’un ramassis de planches de bois. Etrangement, le blond s’en trouvait vexé et en venait très vite à se demander si c’était là un moyen d’exprimer du mépris à l’égard des meubles « trop personnels » de Chealsey. Mais honnêtement, à savoir si un canapé avait bel et bien une valeur intime, mieux valait se demander s’il ne sentait pas tout simplement mauvais. Pour l’heure, l’anglais n’avait que deux données pour mettre en place sa théorie. Deux personne dont il n’était absolument pas proche et dont il ne savait presque rien. c’est fou comme la psychologie inversée fonctionnait bien et que c’était alors que les autres désiraient le sièges qu’il se mettait lui-même à souhaiter faire ce choix rendu impossible par les bonnes manières impliquant de laisser l’autre choisir sa place. Le jeune homme se refusa son caprice et s’assit dans le canapé. Il fallait dire que l’ambiance qui se dégageait de cela était des plus particulières. Le sérieux de la situation laissait penser à un entretient d’embauche. Un entretient à posteriori du recrutement dans ce cas-ci rendant la situation encore plus étrange. C’était là une source incompréhensible de stresse pour le luthier qui n’avait encore jamais expérimenté cela. Par ailleurs, lorsqu’il y pensait, n’était-ce pas étrange que de venir en toute impunité tester sa fidélité ? En quoi consistait exactement ce « test ». Si ce n’était là que quelques questions, quelle assurance pouvait avoir l’autre parti que le jeune homme ne mentait pas sur son compte ? Ce n’était pas là une chose qui plaisait à Chealsey lorsque pour sa part, il ne cherchait qu’à prouver sa fidélité à la famiglia.

Le fait de se présenter était quelque chose de simple, commode et commun entre tout êtres humains s’apprêtant à engager un dialogue. C’était là l’occasion d’apposer un nom sur la personne à laquelle on s’adresser fixe et précis à l’inverse du fameux « vous » interrogateur. c’était là la seule et bien la seule raison qui avait poussé Chealsey à se présenter et qui aurait dû convenir à tout être humain normalement constitué. Il paraissait assez évident que Maël connaissait le nom du blond étant donné qu’en prime qu’il soit affiché en grandes lettres sur la façade, n’ayant pas cherché un nom compliqué, il était celui qui étant venu s’adresser au luthier et donc à priori connaissant un minimum le sujet à moins que le test de fidélité de fasse de façon complètement bancale, ce que l’attitude de l’envoyé semblait démentir. Néanmoins, il y avait quelque chose d’étrange et d’insatisfaisant à demander un nom sans donner le sien. Dans cette histoire, l’anglais avait réellement l’impression de passer pour un ahuri aux yeux de son interlocuteur. Car oui, se voir préciser qu’il ne serait pas physiquement évalué quand il s’agissait de poser des questions donc à priori orales était dérangeant. Le luthier se savait animé de très nombreux défauts parfois intolérables mais la stupidité pure n’en faisait certainement pas partie. Par la même occasion, il s’autorisait à émettre des jugements sur les autres mais de quel droit son examinateur exprimait de vive voix sa critique ? Ne pouvait-il pas faire comme tous et garder ses remarques insipides pour lui ? Il n’était pas faux que la gente féminine fréquentant son magasin n’était pas seulement due à la qualité du thé mais cela avait ici la même incidence que toute autre valeur commerciale. Le jeune blond effectuait d’hors et déjà sur sa personne un effort considérable pour ne pas céder à sa pire habitude.

Cependant, il fût apparemment nécessaire que Maël ne s’arrête pas là dans ses réflexions. Le blond fût particulièrement dérangé de la phrase que ce dernier formula vis-à-vis de la façon dont ils devaient s’adresser l’un à l’autre. Il avait l’impression de recevoir des leçons de bonnes manières inutiles laissant sous entendre qu’il n’en avait aucune. Par là, MONSIEUR Tsubaki ignorait tout un raisonnement aussi basique que logique établit par le luthier. Il était évident qu’il n’allait pas instinctivement l’appeler Maël, la preuve même étant qu’il le vouvoyait. L’affront n’aurait pas été tel si la manière de souligner la chose ne s’était pas faite de la sorte. (phrase épique) Oui, ce souvenir de la maîtresse d’école écrivant son nom sur le tableau noir et précisant qu’il ne fallait pas l’appeler par son prénom, la seule différence étant que Chealsey se voyait reconnaître une part infime du statut d’adulte dans le fait d’être lui même vouvoyé et appelé « monsieur ». Néanmoins, ce n’était pas là nécessairement une bonne chose car aux yeux du blond, était clairement sous-entendu qu’il n’était qu’un rustre né dans la boue et sans aucune manière. le comble devait être que des deux, le luthier identifiait Maël comme celui échappant le plus et de loin aux convenances sociales. C’était assez, ne serait-ce que pour la convenance, il se devait de détailler ce personnage dans son esprit ne serait-ce qu’une fois.

Il fallait tout d’abord parler donc de ce fameux aspect « rustre » comme l’avait démontré bon nombre des manières de Maël. Effectivement, il paraissait évident qu’il ne fallait pas disposer d’un pedigree impressionnant pour savoir qu’un violon se manipulait avec délicatesse. Derrière cela, il y avait cette prétention très déplaisante de personnage fréquentable et bien aisé dans le langage et semblant dissimuler quelqu’un de quelque peu imbu de sa personne. Enfin, »semblant » étant un bien petit mot car il n’y avait rien de caché tellement le jeu était grossier. C’était sans parler de cette manière de balancer ses pieds au sol particulièrement agaçante au même titre qu’un enfant ouvrant et fermant une porte pour le simple plaisir de faire cela. Dans une certaine mesure ce n’était là pas si grave étant donné qu’ayant joué un peu plus tôt avec ses gants. Au moins, Chealsey ne faisait pas la taille des enfants à qui il enseignait occasionnellement le violon. Oui tient d’ailleurs, ce physique, parlons-en dans un deuxième temps.

Lorsque l’anglais regardait son « invité », il voyait l’indécision incarnée. Il était déjà passé par ce genre d’événements avec Alex et ses fameux yeux dépareillés. Autant dire que cette fois il était servi. Pour commencer, il y avait l’absence de pigmentation dans les yeux leur donnant cette couleur rouge plus communément appelée albinisme allant de paire logique avec un teint pâle et supportant mal la lumière du soleil. Jusque là, pourquoi pas. Mais il avait des cheveux noirs. Des cheveux NOIRS. Un albinos classique aurait eu comme Elysion des cheveux blancs. Mais non, celui-ci avait décidé que non. Donc albinos, mais pas trop. Bien évidemment il était vêtu de la même couleur que ses cheveux, cette fois intégralement. Néanmoins le détail désaccordait l’ensemble car bien évidemment étant donné que sa coiffe était à l’opposé naturel de son teint, absolument aucun de ses vêtements ne pouvait réellement trouver sa place. Il y avait aussi ce petit sourire complètement inapproprié lui donnant l’air d’un véritable psychopathe quand il s’adressait à un allier. Ce qui démontrait chez cet être une grande logique. Le luthier tentait de calmer cette effusion tant qu’il en était encore temps. Ils n’étaient pas réunis à cette fin quand bien même ce serait particulièrement défoulant. Il n’y avait eu que Deux répliques et déjà l’inspiration était grande. Chealsey se ressaisit et se teint prêt le plus tôt le cas serait achevé, le mieux ce serait. Il ne se rendait toute fois pas compte qu’il avait entre temps recommencé à jouer avec ses gants.
« Bien »
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MessageSujet: Re: Psychologie quand tu nous tiens [Pv Chealsey] Psychologie quand tu nous tiens [Pv Chealsey] EmptyMer 26 Nov - 20:02

Psychologie quand tu nous tiens
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Maël se tenait promptement sur sa chaise, gigotant un peu de cette dernière. Pas qu'il était impatient, loin de là. Il avait le temps pour tout faire, ces « missions » pour les Momento faisait partie de sa vie à présent. La renier serrait faire machine arrière, pas sûr qu'on apprécie ce geste dans leur milieu. Il lâcha un soupir, il voyait bien que son choix avait agacé le blondinet. Un petit changement avait permis de lancer cette hypothèse dans sa tête. Il croisait ses bras sur sa poitrine, il était fier de son petit effet, il voyait que derrière ces sourires, il cachait un méchant ce qui était une qualité étant donné les penchants de Elysion pour la domination, même penchant qu'on trouvait chez Mäel. Il n'avait apprécié qu'il le regarde de haut, quand bien même, il était pas très grand, il voyait bien le repris dans le regard du luthier. Un sourire des plus sadique vint se peindre sur le visage de l'homme vêtu de noir. Il n'avait pas fait grand chose, pourtant, il avait déjà dans les mains de nombreuses cartes. L'homme se voulait être quelqu'un d’éduqué, contrairement à lui qui n'avait vécu que dans la violence, rien de physique, juste les mots, c'est pour cela qu'il savait que les paroles peuvent blesser bien plus qu'un poing. Il fallait mesurer l'ampleur de ses mots. Ce qu'il faisait malgré lui. Il mesurait ses propos, mais c'était sans compter sur le côté de lui qui faisait qu'il était un peu méchant. Le blond était nerveux, il le voyait en jouant avec ses gants. . Il riait presque en le voyant, il prononçait qu'une parole, un « bien » qui disait clairement qu'il pouvait le cuisiner et qu'il voulait lui mettre une baffe en pleine figure. Il riait presque. Il adorait qu'on le déteste c'était tellement jouissif. Il riait presque.

-Commençons donc monsieur, j'aimerai savoir ce que vous faisiez avant d'être dans la famiglia, en dehors de construire des instruments de belle facture, mais on est pas là pour discuter de cela. Votre adhésion à notre groupe est récente. La confiance que l'on vous accorde est un peu limitée. Ce n'est point contre vous Monsieur Hawkwood, disons que vous avez une bonne tête pour être un espion... Mais soit, me frapper ne servirai à rien aussi, je vois que cela vous démange. Un accident est si vite arrivé.

Maël pouvait provoquer des accidents, après tout c'était son pouvoir, il l'aimait bien cet aspect de lui. Bien qu'il doit prononcer cette phrase magique, il haussa les épaule, il provoquait purement et simplement le blondinet, car il le voyait faire preuve de retenue, cet obstacle qu'il connaissait assez bien. De combien de mots violents et de grossièreté ses oreilles avaient été témointes, bien trop. Sa vrai famille n'était qu'un déchet, il valait mieux qu'eux. Il cachait ses blessures derrière un masque de fierté mal placée. Il ne lui restait plus qu'à attendre les réponses de son patient. Il sourit doucement, sentant le bout de son pendentif frôler sa peau pâle.
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MessageSujet: Re: Psychologie quand tu nous tiens [Pv Chealsey] Psychologie quand tu nous tiens [Pv Chealsey] EmptyMer 26 Nov - 20:49

Chealsey avait l’impression de nager en plein délire. Comment était-il humainement possible que cette petite réunion prenne déjà des proportions pareilles. Il avait rejoint la Memento depuis moins d’un mois et déjà on envoyait quelqu’un pour le menacer. Quelqu’un de plus petit que lui qui plus est. Tout à coups, l’idée de questions visant à tester la fidélité à la famille semblait beaucoup plus logique. Ce qui fit sur le coups plaisir à ce grand admirateur de la raison qu’était le luthier. Evidemment, on pouvait peut-être attendre de lui qu’il se montre coopératif sous le poids de la torture malgré le fait que qu’il avait été prouvé que la torture n’engendrait pas nécessairement la vérité mais tout ce que l’on voulait faire dire.

Plus sérieusement, la racine du problème résidait dans le fait que l’anglais connaissait tellement peu la famiglia qu’il était incapable de deviner leurs méthodes aussi sordides puissent-elles des fois être. Le nombre de relatifs à cette famille rencontrée se limitait à moins de cinq doigts. Pour cette raison, malgré le fait que les souris incessants de Maël le mette mal à l’aise, le blond était incapable d’éprouver une réelle angoisse. Cette impression ressemblait d’avantage à celle qu’aurait eu une jeune fille effarouchée fixée par un inconnu louche. Après tout, le fait que Maël soit un Memento faisait d’hors et déjà de lui quelqu’un de louche. Malheureusement pour le jeune homme, c’était une catégorie de personne qu’il commençait à trop fréquenté bien que ce ne soit jamais pour son plaisir personnel. Néanmoins, Chealsey n’était pour ainsi dire pas une fille effarouché donc il ne pouvait pas se permettre ce genre de réaction. Il y avait une autre question à cela. Est-ce que les membres de la Famiglia avaient des rapports conflictuels entre eux ? Car c’était précisément le genre de relation que semblait vouloir nouer l’examinateur avec le blond.

Le luthier eut un peu de mal à répondre à son interlocuteur. Sa question était tellement contredite et désorganisée qu’il semblait insensé d’y faire suivre de moindre mot de telle sorte qu’il serait alors revenu à accepter que la phrase ait du sens. Le jeune homme n’avait qu’une envie, faire comme si elle n’avait jamais existé pour la laisser tomber dans l’oubli mais en agissant de la sorte, il ne ferait que rallonger l’entretient. A nouveau il prenait sur lui ce qui ne l’empêchait pas pour autant de devoir décortiquer la phrase. Cet individu était-il aussi insensé que de lui demander quelque chose pour faire suivre qu’il ne devait pas lui poser cette question alors que très clairement, il aurait été extrêmement étrange de la poser pour son plaisir personnel ? Il commençait à mieux comprendre. C’était des instruments dont il ne voulait pas parler. La réflexion avait déjà d’avantage de sens. Malgré le fait que le blond aurait préféré se voir poser une question à la fois.

« Je vois malheureusement, il y a peu d’autre chose à dire sur mes occupations depuis mon arrivée à Regalo. je suis plutôt focalisé sur mon travail. Même avant cela, j’étudiais dans des ateliers à Londres. »

Oui, vraiment, à présent que le jeune homme y réfléchissait, il n’y avait rien d’autre à dire. Depuis qu’il était arrivé son travail avait été sa vie. Après tout, il fallait partir du principe qu’il n’avait jamais essayé de socialiser avec d’autres ou de se convertir à des activités particulières. Tout simplement car il voyait là l’occasion de devenir la personne qu’il prétendait être par son travail. Par conséquent, faire n’importe quoi d’autre revenait à s’accepter et aller à l’encontre de ce principe. Il y avait bien eu cet épisode où il s’était travestit dans une soirée mondaine mais là encore c’était dans le cadre de son travail. A présent qu’il y songeait il était vrai que ce manque complet d’activité était plutôt louche mais il n’y pouvait tout simplement rien… Il avait volontairement scindé sa phrase car la seconde part n’avait rien à voir. Son interlocuteur venait de le menacer sous prétexte que le blond lui voudrait du mal. Il était vrai que le jeune homme était assez irrité mais imaginez les conséquences s’il se jetait sur la première personne allant lui susurrer quelque chose qui ne lui plairait pas.

« Au regret de vous décevoir, je n’ai aucune intention de vous ‘’frapper’’. »

Ce n’était pas une chose qui avait changé en si peu de temps et Chealsey était outré de voir qu’on puisse penser de lui qu’il userait de ses poings à n’importe quelle occasion. Il ne faisait jamais usage de la violence. Il n’aimait pas ceux qui s’en servait et en réponse ne l’utilisait pas. Certainement, viendrait un jour où il aurait une bonne raison de se montrer violent mais en attendant, il ne prévoyait pas faire subir à une personne ce que lui même n’aimerait pas subir. Le blond afficha clairement un air offusqué. Ce n’était selon lui pas un sujet pouvant être aisément sujet à la rigolade. Sa façon d’appuyer sur le mot le montrait bien comme si ce n’était là que le fait des enfants et des bandits.
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MessageSujet: Re: Psychologie quand tu nous tiens [Pv Chealsey] Psychologie quand tu nous tiens [Pv Chealsey] EmptyMer 26 Nov - 22:02

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Maël voyait agacement qu'il regardait un peu trop de haut en bas. Il était plus petit certes, mais il n'aimait pas qu'on joue sur sa taille. Il respira à fond, il devait rester à tout prix professionnel. C'était un gage de qualité pour lui, il aimait les choses bien faites. Son travail en faisait partie. Il le mettait un peu au pied du mur, cela plaisait beaucoup à Maël qui non content de son résultat pouvait être bien pire. Des questions traversèrent l'esprit blond, c'était mieux ainsi, il serait plus apte à répondre à ses question, valait qu'il ne le voit pas vraiment comme un pote, personne n'était son ami, bien qu'il faisait tout pour ses patients s'attirant la sympathie de joyeux boulets. Il les adorait tout de même, il lui rendait un peu le sourire et une vague foi en l'humanité. L'homme vêtu de noir avait son vécu, qu'importe ce qu'il pouvait le nier, il l’influençait. L'hésitation, les mots étaient des armes, il les utilisait, parfois hasardeusement, mais il savait qu'il finirait par trouver ce qui n'allait pas, il faisait son travail et était en mission pour la famiglia ce qui fait qu'il ne savait quel comportement allait le mieux dans ce genre de cas très particulier... Il respira à fond, l'air marin de l'île faisait baissé considérablement son stress quasi permanent. Le blondinet commençait à parler après u moment de silence, un sourire se formait sur le visage du comportementaliste. Il avait fait que de son mieux pour s'installer sur l'île, alors que lui-même était venu à la base pour oublier une peine de cœur. La seule que son âme ne savait réparée, même avec le temps qui passait. IL avait fini par s'engager ici-même oubliant tout son passé, sa famille et cette perte douloureuse. Il était un autre homme. Il écoutait ses paroles, Londres, c'était quand même loin. Lui qui avait vécu dans le centre de France une grande partie de sa vie. Il avait rien fait, Maël se grattait le menton pensif, tout ce manque d'activité pour la famille finirait par l'amener à des ennuis, ce n'était pas interdit de faire abstraction de ses devoirs pour leur couverture, mais de là à oublier la famille, ça non. Il était un peu agressé par ce rapport de force que l'homme lui renvoyait. Il avait mis dans sa seconde phrase des regrets, il n'allait pas utilisé la violence physique, c'était déjà cela. Puis il voyait l'air vexé du blond, il sourit, il avait réussi à lui renvoyer son sentiment. Il restait sur sa chaise, parfaitement immobile, cet homme le fascinait grandement. Il ne le disait pas car il tenait à son honneur.

-Je vois que je vous vexé, au moins si cela peut vous éviter de me regarder de bas en haut comme si j'étais un phénomène de foire, je ne peux que m'en réjouir. C'est bien de conférer du temps à votre couverture, qui plus est si vous faites ce qui vous plaît et tant que ça nuit pas à la Famiglia tout va bien, par contre, quand on vous donnera des tâches, ne refuser pas, du moins pas toutes. Faut donner du temps à la Famiglia ou celle elle qui chargera de vous faire passer des moments avec elle.

Maël avait pris un ton très professionnel, difficile de croire qu'un homme aussi petit soit si sérieux, pourtant il était, quand il s'agissait de son boulot, bien qu'il soit à présent relégué au second plan. Il n'en changerait pas, même pour tout l'or du monde, c'était son univers, sa passion, sans cette dernière un travail n'était juste que du remplissage. Au fond ça l'emmerdait que des gens puisse faire cela pour un bonheur éphémère, d'un autre côté, il s'en fichais. Il lâcha un soupir, in avait mieux que de se préoccuper de cela.Il regarda l'homme ses yeux bleu et ses cheveux blond, il avait vraiment une tête de gentil. Il ne jugeait pas sur les apparence a près tout, il avait cet air de poussin tombé du nid parfois.

-Bien aussi je vais vérifier votre degré de méchanceté, rien de grave. Je n'utiliserai pas les traditionnelles tâches, ne vous forcez pas cependant, je le verrai, le métier me permet de détecter les mensonges.  
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MessageSujet: Re: Psychologie quand tu nous tiens [Pv Chealsey] Psychologie quand tu nous tiens [Pv Chealsey] EmptyMer 26 Nov - 22:54

Qui aurait pu croire que la situation finirait par « s’arranger » ? Quoi qu’il en était, la tension commençait à redescendre. Chose plutôt appréciable lorsque l’on ne savait pas réellement d’où elle était issue. Pour autant il y avait toujours cet écart qui laissait entendre qu’ils n’étaient absolument pas sur la même longueur d’onde malgré leurs diverses tentatives de faire comprendre leur ressentit. Chealsey n’était pas certain d’apprécier les méthodes de l’examinateur. Il manipulait à sa guise les émotions et les impressions pour tout contrôler. Bien que le jeune homme était devenu un expert dans l’art de paraître autre que son être, il s’était accordé sur le fait que dans ce cas, tous les éléments qui iraient ronger son esprit n’appartiendraient qu’à lui seul. Mais à présent, il y avait cet inconnu, disposé à l’exploiter et à le crypter de ce d’une façon qui était même parfois erroné. Il fallait plus qu’un vague échange de mot pour prévoir quelqu’un et le blond n’avait clairement pas envie de partager avec cet individu. Néanmoins, il n’avait pas le choix et c’était là une chose qu’il n’arrêtait pas de se répéter.

En entrant dans sa vie, la famiglia lui avait offert une chose à laquelle il n’aurait jamais osé aspirer. Non seulement lui avait-elle offert un véritable but, une raison valable d’avancer bien que ce fût pour quelqu’un d’autre mais aussi elle était venue à lui. Chose que personne n’avait fait à son égard. Au contraire, la vie avait plutôt eut tendance à le fuir ces dernières années. Pour certains ce n’aurait été qu’une opportunité mal tournée mais aux yeux du blond, c’était là très important. Par ces motifs, il se devait de jouer son rôle au mieux. Il se devait de tout faire pour satisfaire les objectifs Memento aussi loufoques fussent-ils. Si cela devait commencer par un interrogatoire dirigé sur sa personne, il devait s’y conformer. Après tout, tout avait un prix et si son entrée dans ce milieu devait le priver de lui, il se perdrait alors très vite quitte à se jeter dans le vide.

Il était incorrect de penser que Chealsey étudiait Maël comme une bête de foire. Tous ceux passant sous son regard était soumis au même traitement. Nul n’échappait à la règle. Effectivement, même ce cher Elision était passé par là sous les traits d’un vieil homme sénile et peu aboutit. Donc finalement, c’était bien comme un être humain que le jeune homme observait son interlocuteur. Comme une personne impossible à juger et à intégralement évaluer mais que l’on sentait le besoin de doser pour mieux s’en protéger. Simplement, ce fameux dosage pour Chealsey était plus excessif que pour n’importe qui d’autre. C’était là sa façon de mépriser absolument tout le monde tout en faisant que ce soit un tantinet justifié. Malgré tout, pour Maël c’était différent. Le luthier l’avait bel et bien jugé selon des critères peu déterminants et parfois surfaits mais il y avait plus. Ce sentiment le prévenant d’un danger précisément sans aucune raison. La meilleure raison qui pût exister au monde pouvant pousser un individu à se méfier de son prochain. Quand fût abordé le thème de la couverture, l’anglais eut à nouveau du mal à suivre le raisonnement.

« Le fait est que je poursuis mon activité précisément car à l’heure actuelle, je n’ai jamais reçu une seule de ces dites tâches. »

Ah il était certain que le jeune homme ne pouvait pas tant se démener pour une cause dont il ne connaissait pas précisément les enjeux et ne s’adressant à lui nullement autrement qu’en lui demandant de rester à sa place pour l’instant. C’était une épine que Maël enfonçait là dans le pieds du jeune homme. Il voulait se rendre utile, il en avait réellement envie. Néanmoins, sa dernière initiative personnelle n’avait pas été bien glorieuse. Il se souvenait de cette nuit passée à Nordia à la recherche de la signification de sa carte afin d’éventuellement se voir apporter quelques précisions sur son pouvoir dont il ne savait rien. Sous-entendre son manque d’application était donc frustrant pour le blond. Cette idée passa néanmoins suffisamment vite lorsque le thème suivant fût abordé. Un test était annoncé qui laissait l’anglais perplexe. Que diable était un examen mesurant le degré de méchanceté ? Chealsey était-il méchant ? Gentil ? Certainement aucun d’entre eux, ce n’était pas tant le genre de choses qui pouvaient être évaluées. Si? Il n’était pas tant le moment de protester d’autant plus que tant que cela ne relevait que de questions, ce n’était pas un problème. Le pire devait être les « taches traditionnelles ». L’anglais s’imaginait déjà l’épreuve pratique consistant à égorger des enfants dans un orphelinat pour les donner à manger à des chiens qu’il empoisonnerait pour les servir à manger à d’autres orphelins. Ce n’était absolument pas une interprétation excessive pour le luthier. Mais honnêtement… Y-avait-il vraiment ce genre d’ateliers ou son examinateur était-il en train de le faire marcher ? Peut-être que cet atelier avait été abrogé car il n’y avait plus suffisamment d’orphelinat. Allait-il seulement devoir un jour tuer un enfant ? Il était déjà difficile d’établir si le jeune homme serait prêt à tuer tout court. En fait, il n’était pas certain d’avoir envie de savoir.

« D’accord. »

Ne pas mentir ne serait pas une chose compliquée. S’il était près à servir la famiglia, il fallait bel et bien qu’il agisse contre ses faiblesses mais aussi qu’ils sachent où se trouvaient ses faiblesses afin qu’il soit usé dans les domaines où il serait le plus efficace.
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MessageSujet: Re: Psychologie quand tu nous tiens [Pv Chealsey] Psychologie quand tu nous tiens [Pv Chealsey] EmptyJeu 27 Nov - 9:27

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Agacement encore, il jouait avec ses nerfs, Maël le savait pertinemment. Il aimait voir cet homme à la limite de vouloir lui dire de long et en large qu'il était un type pas bien dans sa tête. Il le savait, ses sourires qu'il avait à présent ne tromperait absolument personne. Il avait l'air d'un psychopathe, parce qu'il était, purement et simplement. Le blondinet aurait fait les cents pas dans la pièce ça aurait été la même chose, cette nervosité, l'homme vêtu de noir. IL était donc prêt à tout pour prouver que cet homme était apte, en le poussant un peu. Ces techniques mélangeant sa méchanceté, mais aussi son professionnalisme. Il faisait de son mieux pour équilibrer ces deux forces, parfois il se trompait, après tout il n'avait pas l'habitude de mêler sa fierté à son boulot. Il disait que son boulot était là pour attendre une mission, le comportementaliste avait un rire qu'il retenait. Une tâche, elles viendront à ce blondinet, si il était bien dans l'esprit des Momento, après tout c'était pour lui une façon détourée de prouver sa façon d'être, pour dire qu'il fallait se méfier de lui. Il se gratait le menton pensif, pourtant le blond semblait caché quelque chose. Il déplia une feuille avec un bref résumé de ce qu'il avait accompli par son seul vouloir, il y avait plus discret comme méthode. Il sourit, il se pinçait l'arrête du nez. Il avait d'autres choses à faire que se préoccuper des pensées du blondinet, qui devait être nombreuses, compte tenu de la tête qui tirait en ce moment, quel plan foireux avait-il en tête, il ne pouvait que deviner des choses par des gestes, lancer des hypothèse, son boulot lui demandait d'être observateur, ce qu'il était malgré lui. Il respirait à fond, encore un « d'accord ». Ce mec ne faisait que le suivre dans sa folie, s'il continuait ainsi, les ténèbres de Maël engloberait celle supposée de ce garçon. Il sourit, avoir un disciple, quelle fierté cela lui apporterait... Beaucoup, mais il ne voulait pas d'un apprenti, il voulait être le seul unique à être comme il était à présent. Il grattait son menton.

-Bien, dites-moi ce que vous ferez dans un bijouterie, sachant qu'il a demi-douzaine de clients surexcité du bulbe, le gérant et un multimilliardaire.

Maël avait lancé une situation pas si fictive que cela puisqu'il savait que cela pouvait arriver n'importe quand. Il croisait ses doigts sous son menton, ses yeux rouges fixant ceux du blondinet, le moindre changement dans le regard de ce dernier serait décrypté sans que son interlocuteur ne puisse rien n'y faire. Il faisait travailler l'imagination du luthier, il devait en avoir un peu pour être un Momento. Il savait aussi que personne ne dépasserait la folie de Elysion, son chef, celui qu'il admirait plus que tout et pourtant il en fallait beaucoup pour que l'homme vêtu de noir se mette plus bas qu'un autre. Il aimait se sentir puissant, comme en ce moment, il se sentait infiniment puissant. Ce sentiment qui lui faisait gonfler la poitrine sans qu'il le sache, il attendait simplement que le blond prononce quelques mots. Il ne le pressait pas. Une réponse hâtive est une réponse faussée.
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MessageSujet: Re: Psychologie quand tu nous tiens [Pv Chealsey] Psychologie quand tu nous tiens [Pv Chealsey] EmptyJeu 27 Nov - 11:13

Chealsey fût plutôt rassuré de voir que les méthodes de son examinateur se limitaient à une observation. Pour dire vrai, cette histoire de déterminer s’il disait ou non la vérité l’avait rendu nerveux. Il avait effectivement déjà été interrogé lors de la mort de sa mère et c’était une événement qu’il n’oublierait pas de sitôt. A cette occasion, un officier avait placé deux doigts sur son poignet afin de mesurer sa vérité en réponse aux battement de son coeur. Le problème était que l’enfant ne voulait alors céder son poignet pour rien au monde car étant à l’époque tétanisé par l’idée du contact physique. C’était là ce qui avait poussé les forces de l’ordre sur la piste qu’il était celui qui avait empoisonné sa mère quand il n’en était rien. Certes, le blond n’aurait pas été à même de sentir le battement de son coeur par cette méthode mais le fait de sentir ou entendre ces pulsations n’était qu’un moyen d’empirer son refus du contact physique. Ainsi, voyant que l’examinateur ne procédait pas ainsi, l’anglais relâcha ses mains qu’il avait rétracté à l’instant. Il pouvait donc se concentrer il allait le faire. Mais quel genre de question était-ce…?

En réalité, Chealey n’était même jamais entré dans une bijouterie. Il ne s’intéressait pas aux articles ici vendu qui de fait étaient bien trop chers pour lui. Il devait en résumé s’imaginer être dans un lieu inconnu, dans des circonstances inconnues afin de faire… Il ne savait quoi. C’était précisément là ce qu’on lui demandait. Le luthier se demanda d’abord s’il était censé faire quelque chose. Il n’y avait pas de question, pas de mission, juste sa réaction. Il fût tenté de dire « rien » mais cette réponse aurait certainement été insuffisante. Il s’imagina donc un instant à la place d’un méchant. Si en théorie une personne méchante voulait le mal, elle allait… faire une prise d’otage ? Sérieusement, vous imaginiez le blond faire une prise d’otage dans une bijouterie ? C’était tellement irrationnel que l’anglais éprouvait déjà des soucis avec la représentation. La seule partie cohérente de cette fiction aurait été qu’en agissant ainsi, il aurait calmé les clients parlant trop fort. Il n’appréciait pas qu’on hausse le ton. Mais en agissant ainsi, n’incarnait-il pas au contraire un membre des forces de l’ordre si c’était la seule raison valable à son action ? Il ne ferait certainement de mal à personne, il ne volerait rien… Oui, ce n’était pas le méchant idéal. Plus sérieusement, il ne chercherait pas même à faire du bruit. Lorsque cela ne concernait que lui, il avait une grande tendance à laisser couler. Même s’il était armé, il se laisserait probablement racketter dans la rue.

« Je quitterais la boutique. »

Il n’y avait pas vraiment d’autre choses à dire sur le sujet. Après tout, le jeune homme ne voyait pas même ce qu’il pouvait faire là-bas dans un premier lieu. Assurément, si la famiglia lui avait demandé de faire quelque chose, l’action n’aurait pas été la même. Elle aurait été conforme à la volonté individuelle. Mais ce n’était pas là sa capacité à suivre les ordres que Maël évaluait mais sa façon d’agir de lui même. Par ailleurs, qu’est-ce qu’un test de méchanceté faisait dans un questionnement concernant la fidélité ? Le but était-il de lui poser des questions auxquelles il n’aurait manifestement pas envie de répondre pour voir à quel point il pouvait être impliqué dans la cause ? C’était tordu mais encore une fois et comme toujours, le luthier devait s’y soumettre.

Cette première question soulevait une impression à l’égard de laquelle le blond s’était déjà méfié. Il avait l’impression de remplir un questionnaire d’examen pour une entrée dans une école. Une école pour laquelle ce simple test aurait été la seule condition nécessaire et pourtant, dès la première question il voyait et par conséquent été conscient des points qui s’envolaient non pas car il n’aurait pas su mais car il n’aurait pas fait la bonne chose. Pourtant c’était ainsi qu’il la faisait. Chealsey en venait à se demander s’il était encore possible qu’il soit radié de la Memento quand bien même il ait déjà accepté d’en faire partie ou encore s’il était possible de défaire un contrat passé avec une carte afin de trouver un candidat peut-être… moins pacifiste et plus expérimenté. Cette idée était loin de plaire à l’anglais qui déjà se voyait retourner à un « avant » qui n’existait plus. Il ne pouvait dire ce qu’il se produirait si tout à coups, la famiglia ressortait de sa vie comme elle y était entré, faisant sans aucun doute plus de débat qu’elle n’avait comblé en arrivant. Pourtant, même si celui-ci avait encore du mal à le réaliser, le luthier était loin d’être un si mauvais spécimen que cela étant donné que contrairement à bien d’autre, son pouvoir ne lui était pas monté à la tête autant que la Memento et il le percevait déjà comme un prêt effectué afin qu’il puisse convenir aux attentes. Cette distance qu’il avait prit avec sa carte lui donnait par conséquent une forme d’obligation de se conformer et de ne pas utiliser ce don à des fins personnelles. C’était en partie ce qui expliquait son comportement dans la bijouterie. Même si il avait eu envi de dévaliser l’endroit, il n’aurait pas pu faire usage de son pouvoir dans cette condition et par conséquent se serait retrouvé inapte à le faire.

Dans cette situation, c’était Chealsey qui répondait aux questions et il espérait plus que tout en trouver une ou deux où il pourrait ne serait-ce qu’un peu briller. Néanmoins, il n’avait pas connaissance de ses capacités comme de ses qualités se percevant comme un seul et grand défaut. Pour cette raison, bien que ses réponses apportées purent être intéressantes, elles paraissait surfaite et inintéressantes en vue du protagoniste.
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MessageSujet: Re: Psychologie quand tu nous tiens [Pv Chealsey] Psychologie quand tu nous tiens [Pv Chealsey] EmptyJeu 27 Nov - 12:23

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Maël voyait un vague soulagement, le blondinet avait du subir de nombreux interrogatoires avant le sien. Il sourit doucement à cette constatation, au moins, il n'avait pas vérifier 'il resterai à la pression d'une interrogatoire ennemi, bien que cela pourrait se révéler amusant de le faire. Mais il avait d'autres chats à fouetter que de torturer une journée entière le membre de la famille Momento en face de lui. Puis l'étonnement sa question était des plus banales pourtant. IL aurait pu prendre n'importe quel exemple ça aurait été la même chose, il voyait les Momento comme une menace silencieuse au-dessus de l'île, prête à se battre contre son rival éternel. Cette idée réjouissait un peu Maël sachant que sa carte opposée était possédée par un gosse, manipulable à souhait. C'est tout ce qu'il savait de lui. Il en saurait plus si il devait l'affronter ce qui se fera pas avant un moment. La réponse du blondinet tombait comme un couperet, il lâcha un soupir.IL était un peu déçu, il n'aurait rien tenté, même pas volé la montre du riche multimilliardaire. Il passa une main dans ses cheveux sombres, agacé par ce type au comportement bien trop posé, il lui manquait cette folie, ce qui allait bien à Elysion, son modèle. Il serra les poings froissant un peu ses vêtements. Il réfléchissait rapidement en serrant les dents. Sa prochaine question était plus directe, mais l'approche indirecte avait raté son coup. Il croisa les jambes et fronçais les sourcils.

-Je vois que votre échec vous as laissé une blessure, Il ne faut s'arrêter à cela monsieur Hawkwood. Je ne connais pas votre pouvoir, mais dans quel situation pourriez-vous l'utiliser ? Votre discrétion est un bon point en soi un membre de la Famiglia doit être une personne que l'on soupçonne pas. Pourtant une chose me chiffonne chez vous monsieur Hawkwood, je ne sais pas ce que c'est, mais je trouverai ce qui titille ainsi ma curiosité.

Maël savait qu'en disant cela il mettrait un peu sous pression ce cher blondinet, après tout il restait un tas d'atouts dans ses manches. Il sourit, non pas comme un psychopathe, mais normalement, il était capable pour passer pour un type ordinaire quand bien même ses cheveux noirs et ses yeux rouges indiquait plutôt le contraire. C'était un homme de confiance, quand bien même il jouait les connards. Il regardait son collègue, oui, il était un collègue. Quand bien même il avait l'air trop sage. Trop propre sur lui, c'était louche tout cela. Son appartement en désordre démentait cette tranquillité qui émanait de lui. Il allait savoir ce que cachait cet homme que ce dernier le veuille ou non. Il sourit.

-Pas besoin de me décrire votre pouvoir, nos capacités doivent êtres connues sur le terrain, ce n'est point le cas à présent, on est dans une entrevue pour prouver que vous resterez des nôtres. En tant qu'arcanes majeures, nous sommes importants. Votre métier doit vous permettre d'entendre certaines choses, c'est pour cela qu'aucune mission viens à vous pour le moment.
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MessageSujet: Re: Psychologie quand tu nous tiens [Pv Chealsey] Psychologie quand tu nous tiens [Pv Chealsey] EmptyJeu 27 Nov - 13:57

La réponse exprimée par le visage de l’inspecteur ne fût pas décevante. Il était déçu et mécontent. Ce qui pouvait se comprendre s’il attendait de Chealsey qu’il soit un modèle de méchanceté, chose qu’il n’était pas. Après tout, ce ne serait-ce que le vol n’était pas une chose applicable pour le jeune homme afin que celui ne soit justifié. Même un multimilliardaire était pleinement possesseur de ses biens et il ne revenait à personne de lui subtiliser. Comme il était si bien dit, mieux valait ne pas faire subit à son prochain ce que l’on ne voudrait pas soi même subir. Le vol en soit négligeait toute qualité de travail et donc tout avenir. Un voleur dépendait de la richesse des autres pour subvenir à ses besoins. Par sa profession, le luthier avait un abris, de quoi se nourrir, par conséquent tout ce qui était nécessaire à sa survie. Par la même occasion, il avait l’impression que voler serait revenu à se rabaisser à une position qu’il n’avait pas encore atteint. Il avait bel et bien sa petite fierté malgré tout et qu’y avait-il de noble à subtiliser les possessions d’autrui ? Précisément rien.

Chealsey ne comprit pas ce que Maël voulut dire par échec. Ils n’avaient jamais abordé un tel sujet et cela avait pour conséquence que le jeune homme se retrouvait dans l’incapacité de situer l’événement. Ce qui était pour le moins contraignant lorsque le sujet semblait se diriger dans cette direction. Parlait-il de la réponse n’étant pas la bonne ? Si c’était cela, il ne fallait pas espérer le détendre en lui faisant remarquer une erreur qu’il avait déjà perçue. La conversation devint soudain plus fixe, visant un sujet bien précis. On pouvait dire sans se tromper que le jeune homme n’appréciait pas son pouvoir. Certes il pouvait être bon et s’avérerait certainement utile dans la cause mais pour autant il avait pour particularité de ne refléter en rien qui était le blond. C’était un don comme voué à combler toutes les carences d’une vie de citadin des plus ordinaires. Une force ne reposant que sur la violence pure et ayant bien évidemment pour objectif d’évincer l’ennemi. L’anglais n’était pas un homme de front mais son pouvoir disait de lui qu’il l’était. Il n’avait aucune idée de ce qui pouvait déranger Maël a son sujet et n’avait pas particulièrement envie de le savoir. Ce n’était pas son affaire, ce n’était que de la curiosité mal placée qui paraissait difficilement imaginable provenant de cet homme.

Je n’en ferais certainement rien s’il ne s’agissait que de ma personne mais si la famiglia venait à me le demander, je ferais le nécessaire.

Bien qu’il semblait que l’examinateur prenait un plaisir fou à interpréter les moindres faits, gestes et expression du jeune homme, il y avait des choses qu’il ne pouvait pas comprendre instinctivement car ils n’étaient pas la même personne, car ils n’avaient pas la même façon de penser. Ces choses là, le blond se devait de les préciser afin de combler le faussé qui existait entre ces deux airs et être entendu. Autrement, ses pensées passeraient comme inexistantes et inutiles. Dans son caractère exhibitionniste, Chealsey était tout de même travaillé par l’idée d’attirer une attention bien que la personne visée ne fût pas la plus propice à son épanouissement, c’était là une occasion assez rare envisageant l’hypothèse qu’il pouvait capter les regards sans nécessairement s’afficher parfaitement. Cette déduction entrainait une suite inconsciente, celle de ne pas vouloir nécessairement tout dévoiler à Maël. Après tout, quel bien y aurait-il à ce que cet intérêt cesse brutalement à la fin de l’entretient. Ceci-dit, le fait d’être sous le regard d’une personne qui n’était à priori « pas quelqu’un de bien » avait quelque chose d’inquiétant.

Il ne fût pas plus mal que Chealsey n’eut pas à détailler son pouvoir. Etrangement, il lui apparaissait malgré son mépris pour celui-ci comme un élément faisant partie de lui et particulièrement personnel. par ailleurs, il n’était pas certain d’en être capable. Il avait vaguement compris que de blessures il pouvait imiter des armes et les utiliser mais l’idée se limitait pour l’instant à cela. De plus, la douleur provoquée par cette action avait un caractère plutôt dissuasif. Ce n’était là qu’une raison de plus à sa mise à l’écart pour l’instant et une chose de plus à laquelle il essayait de trouver une solution. Après tout, quelle organisation de renom irait expédier sur le terrain un gamin immature sachant approximativement se battre et encore trop coincé dans son quotidien pour avoir une attitude rationnelle sur le champ de bataille. Ah ça, le blond était bien souvent à côté de la plaque dans tous les domaines tout autant qu’il soit. Il fallait un mode d’emploi pour que l’action ait du sens. En cela, il était capable de façonner et de réparer des instruments, d’accueillir des clients, d’avoir des bonnes manières… Néanmoins, dès que l’anges disposait d’une marge d’interprétation ou d’action, il était impossible pour lui de prendre la bonne voie. Il privilégierait toujours l’impensable et l’irrationnel au simple et concret sous couvert que sa solution soit en réalité meilleure. Cette raison semblait bel et bien plus correcte que de savoir si sa position pourrait lui apporter quoi que ce soit en tant qu’informateur. Pour voir cela, il n’y avait qu’à regarder la boutique avant leur entrée à l’arrière. Déserte, précisément et à moins que le fan club féminin de l’anglais ne soient d’éminents membres de l’arcana, il y avait pour le moins peu de chance qu’il soit ici d’une grande utilité. Sa seule qualité à Regalo étant de faire partie du paysage, d’être connu de la ville, de ne pas être suspect mais surtout, d’être proche du terrain en cas de besoin et éventuellement de permettre un retrait d’autres Memento au sein de sa boutique.
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MessageSujet: Re: Psychologie quand tu nous tiens [Pv Chealsey] Psychologie quand tu nous tiens [Pv Chealsey] EmptyJeu 27 Nov - 14:34

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Gardant à l'esprit qu'il pouvait mettre fin à toute cette mascarade quand il le voulait, Maël se grattait doucement le menton, sa petite taille rendait son âge plus flou qu'il était à l'origine, mais c'était bel et bien en adulte en pleine possession de ses moyens. Carte ou non, il pouvait parfaitement se défendre. Il voyait un tas de choses dans les yeux bleu du jeune homme de l'indignation, de la fierté et un poil d'ennui. Il savait que ces questions pouvaient le toucher en plein cœur. Il sourit doucement reposant ses mains sur les genoux. Il sourit, il avait préparé mentalement ses questions avant de venir ci, mais maintenant qu'il était en face du lion, il les changeait, car pour le comportementaliste il avait affaire à une personne qui savait ce qu'elle faisait, contrôlant tout ce qui était pas mal pour un Momento, une capacité bien utile pour l'avenir. Un sourire vint se peindre sur le visage de l'homme vêtu de noir, il n'avait pas les réponses orale qu'il lui fallait, mais des gestes qui lui indiquait que ce type, en dépit de son apparence un peu trop proprette avait sa place ans la Famiglia. Il pouvait être fier de ses conclusions, qu'importe si elles n'engageaient que lui-même. Il était content tout de même. Il parlait de son pouvoir, il soulevait un sourcil, comment ça il ferai rien, il avait bien envie de savoir ce qu'il pouvait faire avec. Il se pinçait légèrement les genoux. Il se disait que cela avait l'air passionnant, il voyait bien que son pouvoir et que ces capacités physiques étaient limitées, il avait appris à se battre avec les mots, bien que sa taille réduite soit pratique pour porter certains coups bien placés. Il vit le dépit dans le visage du jeune homme. Il respira à fond, cela lui faisait pas peur d'être comme cela, juste un décor, lui qui n'aimait pas cela, il n'aurait pas supporter ce poste. Il était bien plus discret que lui-même l'était.Il respirait à fond.

-En gros, vous êtes capable à tout pour la Famiglia, même si pour cela vous devez jouer les fantômes. C'est une chose assez positive et négative, tout dépens de votre ressenti dans cette affaire, ce qui est pour entraînement sur le terrain, je ne suis point le meilleur dans ce domaine. Je suis quelqu'un d'intelligent et je m'en sers habillement. Quand est-il de votre arme la plus remarquable, c'est-à-dire la séduction monsieur Hawkwood ? L'avez déjà utilisé ?

Maël aimait ses question, elles étaient toutes en demi-teinte, elle avait un côté tranchant, mais aussi un côté doux, l'interroger se devait de se positionner pour prendre le côté le moins abrasif de ses questions. Il aurrait pu poser un millier de question, mais celles qu'il obtenait venait de son corps. C'était un diamant brut, c'est à la Famiglia de le tailler pour qu'il devienne une belle pièce. Un homme dont on pourrait être fier, pas une vulgaire planque dans Régalo. Le comportementaliste ne bougeait presque pas, seul sa respirations et ses quelques gestes affirmait qu'il était toujours vivant.
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MessageSujet: Re: Psychologie quand tu nous tiens [Pv Chealsey] Psychologie quand tu nous tiens [Pv Chealsey] EmptyJeu 27 Nov - 15:18

Finalement, un message avait finit par passer la barrière. C’était en soit une bonne chose car cela prouvait que le dialogue était éventuellement possible entre les deux personnages. Le jeune homme avait finit par faire comprendre l’essentiel, la source même de la présence de son examinateur sur ces lieux. Il était au service de la famiglia et c’était là un fait non négociable. Il était venu un instant où le blond avait cru ne jamais y arriver. C’était donc déjà une grande victoire sur cette sorte de bataille sans queue ni tête à laquelle il espérait pouvoir échapper avec cette révélation pour le moins directe. S’il l’individu était bel et bien capable de percevoir les mensonges qu’il avait a formuler, cette dernière phrase aurait dû en théorie suffire. Ils auraient pu se séparer sur ces mots et peut-être que quelqu’un d’autre serait venu aborder des sujets autres tels quel les possibilités d’être utile de façon continuelle. Cette conversation commençait à vraiment le mettre mal à l’aise dans la mesure où une personne extérieure n’y aurait certainement rien compris. Il y avait un des mots qui semblaient échapper au blond alors qu’il ne les prononçaient pas et il n’aimait pas cela. Si Maël voulait lui poser des questions, plutôt que de l’étudier parfois à tort, il préférait de loin qu’il les lui posent directement.

Chealsey aurait pu comprendre que son examinateur ne faisait que son travail s’il n’avait pas eu l’impression que le brun prenait un malin plaisir à l’étudier. Oui, c’était un nouveau paradoxe. Le blond s’était sentit satisfait à l’idée qu’on puisse le regarder mais il était fixé désormais. Quand bien même il avait besoin du regard des autres, il ne voulait pas des yeux d’une personne comme Maël. S’il parvenait à voir au-delà de son visage lorsqu’il tentait de faire abstraction de ses habitudes commerciales, il allait engager un nouveau jeu pratiqué depuis tellement longtemps qu’à moins d’en dire que c’était faux, il n’avait rencontré personne capable de dire ce qu’il avait derrière la tête. L’anglais se redressa sur le canapé, s’asseyant au bout de celui-ci afin de ne pas s’affaler et donner l’impression d’être installée sur une surface solide. Dans un second temps, il détendit son visage et reprit son fameux sourire, celui qui s’accordait le plus à ses yeux et ayant suivit son commerce depuis ses premiers jours. Il n’essayait pas par là d’handicaper son examinateur dans l’exercice de son travail. Il voulait simplement que celui-ci reconnaisse au jeune homme le droit de dispose librement de ses pensées ainsi que sa capacité à collaborer lorsque ce n’était pas un parfait inconnu qui agissait comme il lui plaisait lorsqu’il n’était pas la seule personne en cause. C’était un premier pas et cela s’appelait le respect. Si le brun voulait vraiment savoir des choses sur l’anglais, sa manière de penser, son pouvoir ou n’importe quoi d’autre, il allait devoir être directe, concis et cesser de détourner ses questions dans les derniers instants en incitant ainsi peut-être involontairement le bond à ne pas répondre à sa question ou en émettant une réponse absolument pas escomptée. La seule chose pouvant paraître étrange dans cette histoire était que pour défendre son individualité et sa vie privée, le luthier se devait de coller des mots sur une apparence et une manière d’agir qui n’avait absolument rien à voir. Pour commencer, il brouillait les pistes, agrémentant son dialogue de gestes tout en gardant ce sourire complètement décalé face à la situation et semblant être celui de la personne la plus serviable du monde dont le plus grand plaisir aurait été de vous indiquer le chemin que vous auriez demandé ses yeux ne démentant jamais cette version.

« Je ne pense pas de la séduction qu’elle soit une arme à proprement parler. En ce qui me concerne, les apparences sont certes un atout mais limité dans la mesure où il nécessite une implication personnelle. Pour ma part je ne fais pas dans la prostitution. Néanmoins, je n’ai aucune difficulté à paraître ce que je ne suis pas. »

Aux yeux de Chealsey, c’était spécifiquement là ce qu’avait été sous-entendu par Maël et précisément quelque chose qui ne lui avait pas plus. Cependant, le jeune homme commençait à correctement se méfier. Quelques occasions auraient pu paraître comme une coïncidence mais dans ce cas, l’examinateur cherchait à l’énerver, l’agacer, peut-être pour voir si il s’échauffait rapidement ou tout simplement pour tester son mépris vis-à-vis de la violence afin de voir si dans les faits, cette logique d’esprit s’appliquait précisément. Il allait donc être déçu car l’anglais était quelqu’un d’incroyablement borné. A un tel point que depuis l’instant où il avait décidé qu’il ne supporterait pas Kyrielle, il n’était pas une seule fois revenu sur cette idée et ce même après que celle-ci lui ait potentiellement évité de se faire tuer. Sa ténacité, le luthier la tenait du fait qu’après la mort de sa mère il n’avait pas été capable de quitter immédiatement l’Angleterre. Il lui avait fallu attendre plus de sept ans pour pouvoir quitter cette ville qu’il avait appris à tant détester. Il ne connaissait que trop bien le rôle de bouc émissaire pour s’en plaindre ou chercher à y remédier. Il la combattait avec une violence certes mais qui se limitait à l’intérieur.
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MessageSujet: Re: Psychologie quand tu nous tiens [Pv Chealsey] Psychologie quand tu nous tiens [Pv Chealsey] EmptyJeu 27 Nov - 16:11

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Bien qu'il était comme lui un être de ténèbres, Maël ne se sentait pas devenir copain avec le blondinet. Après tout, il préférait être le moins lié aux personnages qui composaient la Famiglia. IL aimait le principe, mais il ne voulait pas s'y mêler de trop, ses mauvais souvenirs avec sa véritable cellule familiale avait laissé de gave séquelles sur l'homme vêtu de noir. Bien que son sourire indiquait un plaisir sans borne à faire tergiverser le blond en face de lui, il avait sa partie professionnel qui jouait contre lui. Détente, l'homme qu'il examinait se sentais hors de danger, il remuait sur son siège. Il était un peu excité par celui-ci, il avait hâte de voir et d'écouter ce qu'il dirait, bien que ces gestes en disent bien plus au comportementaliste. Il décroisait ses jambes précédemment liées l'un à l'autre dans un geste de patience et d'attente de son patient, bien qu'il s'agissait d'un membre de la famille, bien qu'il devait tester que sa fidélité, il ne pouvait s'empêcher dans savoir plus sur le personnage en face de lui. Il aimait bien cet affrontement entre eux. Il préférait qu'on le haïsse que l'inverse. Quand bien mêle lorsque venait le sommeil, il se transformait en homme tendre. Voilà une réponse qui lui plaisait, il se donnait des faux-airs aux autres. C'est cela qui l'avait titillé, il avait vu sans ses masques habituels. Il sourit à ce dernier. IL le fixait quelques instants dans ses yeux. Il pouvait voir une vague de haine qui lui était destiné, il pensait à une personne désagréable comparait-il sa présence à cette personne, il ne pouvait pas savoir, il pouvait que deviner. Quelque chose le rongeait, un trait commun qu'il avait avec lui. Il était violent et fier pour combattre sa propre faiblesse. Il arrivait à la conclusion que cet homme avait des choses à cacher comme nombres de Momento. Il ferma les yeux quelques instants.

-Je vous vois mal proposer vos services à ces dames, votre masque de candeur est bien trop encré sur votre visage. Je n'en doute pas une seconde, j'aurai pas su que vous étiez un Momento, il m'aurait fallu un temps pour le deviner. Rien ne m'échappe très longtemps cependant. Je dois accorder que vous jouer assez bien votre rôle, cela sera utile dans un futur. Proche ou éloigné, moi-même, je l'ignore. Votre engagement semble pas vain, vous avez trouvé une chose dans la Famiglia, je ne sais pas quoi, mais cette chose fait de vous un membre presque trop propre, sans une folie apparente, pourtant quelque chose doit vous ronger. Pour moi vous êtes digne pour le moment. Peut-être que cela changerait bientôt. J'espère que vous vous méfierez des hommes plus petits que vous à l'avenir.

Maël démentait à lui tout seul un proverbe qui disait que tout ce qui était petit était mignon. Il n'aimait pas l'entendre de toute manière, il se leva quelques instants, la chaise était dure, mais il ne s'en plaignait pas, après tout il avait vu pire que cela. Il s'installait de nouveau dur le siège avec un léger sourire mauvais, il provoquait le blond, il le savait parfaitement, cela l'amusait comme pas possible. Il pouvait passer des heures entière à voir les réaction du blond, ces paroles niant ces gestes, le langage corporel, premier trahisseur de pensée, lui-même faisait tout son possible pour que ces gestes le trompent pas, mais il savait que hésitation devait s'être vu à du court moment. Il nierait pas ceux-ci, il avait vécu autant que l'anglais. Il passait une main dans ses cheveux sombres, remettant ses vêtements en place.

-Votre masque se défait une fois qu'un viens dans cet endroit, du gars propre sur lui avec toute la classe qu'il dégage se retrouve être quelqu'un de bordélique, cela donne un aspect vivant à votre intérieur, mais ça en dit pas mal sur vos habitudes quotidiennes, avec un sens de la vue développé on peut faire le parcours que vous faites dans cette pièce chaque matin. Je ne suis pas un décorateur, juste quelqu'un qui a l'habitude de fréquenter des gens qui viennent pour qu'on les aide. Je suis capable comme vous de comédie, je semble moins doué que vous l'êtes, je vous tire mon chapeau Monsieur Hawkwood.
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MessageSujet: Re: Psychologie quand tu nous tiens [Pv Chealsey] Psychologie quand tu nous tiens [Pv Chealsey] EmptyJeu 27 Nov - 16:58

Il n’y avait pas que du faux là-dedans. N’importe qui connaissant la vie sentimentale ou sexuelle du blond aurait pu en dire qu’il n’était pas mieux qu’une vierge effarouchée et ce n’était pas tout à fait faux en un sens. Il fallait dire que son problème relatif aux contacts physique limitait un peu la donne. D’autant plus que le blond était toujours partit du principe que la seule possibilité d’avenir conjugale pour lui se trouverait dans un profil opposé qui serait selon sa mère comme ce qu’elle attendait de son fils, parfait. Donc en théorie, il aurait dû finir par épouser une femme aisée, de grande vertu, bien élevée et animée de toutes ces qualités humainement impossibles qui avaient été imposées au blond dès son plus jeune âge. Oui, selon cette théorie il était certainement condamné à une vie de célibat mais lorsque l’on voyait la façon dont cela pouvait finir avec ses parents par exemple, ce n’était pas quelque chose qui le dérangeait. Au moins, l’erreur s’arrêterait avec lui. Bon certes, il n’allait pas tout de même hurler à tue tête son manque inimaginable d’expérience dans le relationnel amoureux. Certes, Chealsey avait honte du ridicule, ce qui était plutôt normal.

Il était vrai que se donner l’air candide était un outil précieux pour l’anglais et ce principalement lorsqu’il se trouvait dans une situation faisant offense à la proposition précédente, il se devait bien de se protéger des avances à son égard sans pour autant déclarer d’un ton sec qu’il n’était absolument pas intéressé. Ce n’était pas bon pour les affaires. Chealsey continuait son cirque usant de gestes qui auraient pu être ceux ventant la qualité d’un instrument de musique. Il y avait une chose sur laquelle il tentait de faire impasse mais qu’il ne pouvait ignorer au fur et à mesure de cet entretient. Maël n’était effectivement pas une personne appréciable aux yeux du jeune homme mais qu’en était-il vis-à-vis du reste. Il avait été choisit par une carte renversée tout comme le blond. Ils n’avaient pas été choisis par l’arcana mais bien par la Memento, famiglia opposée réputée pour ses mauvais agissements. A l’heure actuelle, l’anglais ne se sentait pas l’âme d’un grand méchant mais pouvait-on seulement arriver dans ce milieu en étant comme Maël ou était-ce une évolution progressive à laquelle lui aussi serait soumis. Il lui paraissait évident qu’il ne voulait pas ressembler à ce personnage qui méconnaissait toutes les règles qui lui semblait immuables et irrévocables. Pourtant il y avait d’autre types de méchanceté et il était impossible de savoir où le luthier allait sombrer en temps venu. Il omit dans les paroles de son examinateur volontairement la dernière remarque. L’histoire concernant la taille était dépassé et provenait des premières impressions, le jeune homme ne s’en préoccupait plus depuis que l’entretient avait commencé.

« Dans ce cas je me dois d’espérer que tous ne sont pas comme vous. Malgré tout, je ne suis pas du même avis que vous concernant la folie. Je penses que chaque personne dispose de sa propre folie et qu’il est nécessaire d’entrevoir le sujet de la sorte car il y aura toujours moyen de dénoncer une folie même silencieuse. »

Se voir dire qu’il était un être sain faisait presque rire intérieurement le jeune homme qui se voyait bien attribuer cet adjectif pour la première fois. Qu’était-il arrivé à la bille de sa mère ? A ses obsessions et ses névroses ? il n’était peut-être pas fou dans le sens où il s’acharnerait sur la première personne qui viendrait à lui passer sous la main mais pour autant, il n’était pas vierge de tout dérèglement. Il pouvait les citer, les critiquer, tenter de les combattre, il y avait cette chose en lui qui faisait que c’était inutile et que plus encore viendraient le déranger à posteriori. Le blond accorda un coup d’oeil à son environnement quotidien. C’était là une des seules manières qu’il avait de s’exprimer et que son examinateur semblait lui demander de ranger. Pourtant, c’était encore chez lui, un logement sur lequel il avait la pleine propriété et donc dont il pouvait disposer à souhait. C’était là un point qu’il aurait pu souligner mais il y avait plus important. Plutôt que de se justifier, il avait une autre idée en tête. Il leva le bras pour désigner la porte de l’atelier et prît un ton purement explicatif.

Cette porte est celle de l’atelier. Il arrive que certaines personnes pénètrent l’atelier afin d’en voir le rangement mais en règle général, personne ne passera la première porte. Peut-être seriez-vous honoré de savoir que vous êtes la seconde personne en toute une année à avoir franchit cette porte qui ne soit pas moi. Autre chose ? »

C’était bel et bien un moyen de dire de façon mieux élevée que la formulation paraissait dans son esprit de signifier de se mêler de ses affaires et de rester dans son champ de compétence. Il était un invité imprévu mais en conséquence, lorsqu’il attendait de la visite, il était tout à fait capable de « ranger sa chambre ». La question était simple en partant du principe qu’il n’était suffisamment proche de personne qu’il puisse laisser naturellement entré dans un espace aussi personnel que celui-ci. Ces questions n’avaient décidément plus rien à voir avec un test de loyauté. Peut-être était-ce là un moyen de le faire remarquer. Il ne pouvait malheureusement pas dans sa position mettre fin à cet entretient lui-même. Après tout, le pire serait qu’il revienne car il lui aurait manqué des informations.
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MessageSujet: Re: Psychologie quand tu nous tiens [Pv Chealsey] Psychologie quand tu nous tiens [Pv Chealsey] EmptyJeu 27 Nov - 18:02

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Maël avait bien deviné, il voyais dans les gestes que faisait le Luthier, mais aussi dans son regard azur, il faut dire que le moindre changement était visible pour l'homme vêtu de noir. Il sourit doucement, il pouvait se sentir fier d'avoir plus d'expérience que lui, son ouverture d'esprit lui avait permi d'exploiter la chair et ses travers, il avait découvert sur le tard le plaisir de luxure, ces corps qui ne voulait que lui. Il riait presque en voyant le jeune homme prude par rapport à lui. Le blondinet avait beau faire pour se débarrasser de lui, le comportementaliste était un battant, il s'accrocherait jusqu'à ce que le spectacle le lasse complètement. Le doute, celui de tourner comme lui, Maël était un fou complètement psychopathe qui ne pouvait s'empêcher de rire et se moquer de que les autres pouvait lui apporter. Il passa une main à nouveau dans ses cheveux sombres, le dur du siège commençait à le faire chier royalement. Il balançais ses mots comme quoi il était la pire des raclures, il se mit à rire, il n'y avait pas plus beau compliment que celui-là. Il expliquait une théorie sur la folie, mots qu'il aurait pu accepter dans toute leur entièreté si les choses lui avait permis d'être un proche du blondinet. Bien qu'à présent, il était plus un ennemi de ce dernier, un sourire resta sur son visage, il ne l'avait pas quitter. Il voyait bien que ces mots faisait rire l'artisan, il ne se croyait pas sain d'esprit une seule seconde, il rit un peu en le voyant ainsi.Il balayait l'ensemble de la pièce du regard avant de retomber sur la moue du blondinet, il aurait bien tiré le portrait à ce type rien que pour avoir un souvenir, mais il n'avait aucun talent artistique, enfin il se démerdait comme il le pouvait, puis il en avait rien à foutre ce que pensait les autres. Le blondinet l'invitait presque à sortir, c'était beau cette naïveté. Il ne partirait pas si facilement. Il était un cas particulier en venant ici, allons donc, il allait presque verser une larmichette pour cela. Son « autre chose » désignait clairement qu'il ne voulait plus de lui. Il rit doucement. Il regarda le blondinet.

-Oui, bien que je ne connais pas ce qui vous as fait lier à une carte à l'envers, votre rencontre avec Elysion a du être quelque chose de particulier. Je dois vous être bien désagréable, j'en suis sûr . Surtout que je me mêle de ce qui me regarde pas n'est-ce pas ? Ce n'est que mon métier sdans ce monde. Je suis un psychologue spécialisé dans le comportement humain comme vous êtes spécialisé dans le violon. C'est un art dont je suis fier. Me jeter dehors maintenant est bien trop prématuré, il y a des choses que je dois savoir. Je ne vous lâcherai pas sans être au courant de ces dernières. Est-ce que vous vous attachez facilement aux gens, je parie que non, vu votre réserve, vous n'aimez pas être touché, 'où le port des gants. Comme je disais, je suis observateur.
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MessageSujet: Re: Psychologie quand tu nous tiens [Pv Chealsey] Psychologie quand tu nous tiens [Pv Chealsey] EmptyJeu 27 Nov - 20:18

Comme précisé précédemment, Chealsey n’était pas un adepte de la violence, que celle-ci soit physique ou mentale, il était contre sa nature d’en faire usage. Pourtant, pour la première fois de sa vie, il avait cette envie irrévocable de dégager un individu de chez lui à coups de pieds. Comment était-il humainement possible que quelqu’un s’acharne à ce point pour un sujet pareil. Son manque d’expérience le faisait rire peut-être ? De son côté préférait-il patauger dans les bordels et leurs maladies ? maintenant il était suffisamment clair que ça n’avait plus rien à voir avec ce qui avait été annoncé à la base. Le blond n’avait jamais fuit particulièrement quelqu’un. Peut-être tout simplement car personne ne l’avait collé comme était en train de s’y plaire son examinateur. Est-ce que faire partie de la famiglia rendait nécessaire leurs entrevues fréquentes ? Sa relation avec les autres était tellement limité voir inexistante que le luthier espérait que vraiment la prochaine fois, Maël aurait mieux à faire.

Ce qu’il y avait d’autant plus agaçant avec cette situation était que le brun agissait à contrario de l’anglais. Il n’y avait rien de mal à mêler l’utile à l’agréable, c’était même plutôt recommandé mais comment pouvait-on éprouver du plaisir ainsi ? En s’acharnant contre Chealsey sans absolument aucune raison qui pourrait encourager sur l’hypothèse de sa trahison prochaine. Il en venait même à se demander si ce n’était pas là une vengeance élaborée par Elysion à l’égard de leur rencontre où il avait nettement critiqué ses informateurs sous prétextes qu’ils avaient informé leur chef de son nom, de sa nationalité et de sa profession. Trois choses pouvant être déduites de la façade de son commerce. Malgré tout il maintenait, c’était un réseau qui était à revoir. Les extrêmes comme Maël étaient justes bons à pousser au bord du gouffre. Tout de même, le jeune homme conservait un peu de calme, trop fier pour lui demander de sortir, insinuant ainsi qu’il avait gagné. Il ne jouait pas beaucoup avec les autres mais la norme voulait que l’on aima pas perdre face à une personne que l’on appréciait pas particulièrement. Ce jeu, c’était l’examinateur qui l’avait monté et personne d’autre. Autrement, il n’était pas dans les habitudes du blond de dramatiser les tournures quotidiennes.

Pourtant, il fallait dire que le blond n’avait pas l’habitude de se voir examiner à la loupe ainsi et ce devait être ce qui le gênait le plus. Se voir dire qu’il manquait intégralement de personnalité comme il l’avait entendu n’était pas tant un problème en soit lorsque ce n’était que le masque qui était interrogé mais là, la donne était rendue différente par le fait qu’il n’y avait pas tant de masque que cela car en tant que Memento, on ne le lui demandait pas. Bien sur, il fallait que l’autre parti reconnaisse paraître désagréable et tout ça dans le simple fait de faire culpabiliser le pauvre Chealsey qui était la victime dans cette affaire ! Il y tenait à cette vérité ! Oui, il méprisait arbitrairement et lâchait sans cesse des piques mentales sur les autres. Mais comme par hasard, dès que cette rancoeur était intégralement justifiée par l’attitude à l’égard du luthier de l’autre partie, il fallait que ce soit de sa faute et non de l’examinateur. Le jeune homme ne pouvait s’empêcher de se dire que cet individu ne devait pas avoir la main pour nouer des relations. A moins que tous les Memento soient ainsi…. A présent, l’anglais commençait réellement à craindre le pire. Lui qui avait peur d’être inutile à Regalo, si cela lui permettait d’échapper autant que possible à la compagnie d’une bande de fous furieux, ce n’était pas plus mal.

Le blond se raidit au terme « psychologue ». Il se fichait de la suite, déjà, cela exprimait bien des choses sur le parti opposé. Cela lui donnait une raison supplémentaire de fuir sa compagnie. Il avait fréquenté des psychiatre pendant trois longues années à l’issue de cet événement à la demande adorable de sa charmante famille. Il mettait pas mal de choses sur le dis de ces séances en partant du principe que lorsqu’une personne saine d’esprit allait voir un médecin mental dont elle n’avait pas besoin, elle en sortait nécessairement un peu givrée. maintenant, Le blond était certain, cela n’avait absolument plus rien à voir avec un entretient concernant la loyauté. C’était un bilan psychologique dissimulé. Du moins, plutôt mal dissimulé étant donné que le psychologue s’était dévoilé assez rapidement. En toute logique, vu que celui-ci cherchait à tous prix en apparence à froisser le jeune homme, il l’avait bien évidemment annoncé afin de faire passer Chealsey pour un abrutit de ne pas l’avoir décrété plus tôt alors qu’il était sur la piste et que quelques minutes supplémentaires auraient étés nécessaires à son identification. Bien évidemment, en énumérant et listant les caractéristiques comme il le faisait depuis le début il suivait la même logique, consistant à ne pas laisser la place aux déductions du luthier qui par définition seraient mauvaises. Il avait détesté ses psychiatres, et n’aimait pas plus ce psychologue. A ceci près que celui-ci présentait un avantage indéniable. Il n’était pas qualifié pour prescrire des médicaments.

« Effectivement, il est très observateur de votre part de déduire que je ne m’accroche pas aisément aux autres lorsque je vous ai dévoilé que vous étiez la seconde personne à être entrée ici et que je me consacrais presque exclusivement à mon travail. Néanmoins, comment pouvez-vous dire que je portes des gants à cause d’une crainte du contact avec autrui lorsque cela pourrait tout aussi bien être car je manipule le bois. »

Ce n’était un mystère pour personne dans ce monde, bois était équivalent à échardes et donc pour un artisan, porter des gants était quelque chose d’assez naturel ou du moins, c’était une chose qu’appliquait le jeune homme couramment. Il paraissait essentiel à ses yeux pour sauvegarder son image d’adapter une raison à des habitudes qui seraient liées à ses névroses. les gants n’étaient qu’un exemple, il fallait qu’il puisse instinctivement répondre pour ne pas paraître suspect. En témoignage de son excuse, il enleva ses gants qu’il montra devant lui avant de les ranger dans une poche. Après tout, à moins que Maël soit désireux de l’étreindre à la fin de leur entrevue, chose qui le surprendrait particulièrement, il n’y avait pas de réel danger. Par ailleurs, il y avait bel et bien un défaut d’interprétation de la part de cet examinateur. Il n’avait pas tant peur d’être touché qu’il n’avait peur de toucher car en soit, ce n’était pas tant le contact qui le gênait mais bien la sensation d’un coeur étranger.
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Maël I. Tsubaki - Torre
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MessageSujet: Re: Psychologie quand tu nous tiens [Pv Chealsey] Psychologie quand tu nous tiens [Pv Chealsey] EmptyVen 28 Nov - 9:42

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Ft. Chealsey & Maël
Maël le faisait chier, il le voyait très bien. Ce n'était pas bien difficile de se comporter comme un sale type, c'était même trop facile pour lui. Il avait vu différentes émotions passé dans son regard, l'envie que l'homme en noir ai voir ailleurs si il y était, la culpabilité, il devait s'en vouloir pour une raison qu'il ne connaissait pas et la fierté. Ah, il connaissait que trop bien ce sentiment, il vivait avec lui quotidiennement. Il sourit doucement en voyant le blond lutter contre son envie de le foutre dehors. Maël était quelqu'un de plus fréquentable à l'heure qu'il était. Il avait laissé toute sa gentillesse dans son passé. Il ne retournerait pas dedans ces choses. Il frissonnais de tout son long, il n'aimait pas y penser, ça faisait trop mal. Il serrait le poing. Puis la peur vint se peindre sur le visage du blondinet, il aurait pu être fier, mais il l'était pas. Il serrait les dent, encore une personne qui fuyait les gens de son métier, lui-même n'était pas un modèle, mais ils n'étaient pas tous comme cela. Le blondinet lui accordait quelques points, avait-il tord de penser qu'il était trop tard pour jouer le bon flic, la réponse était oui. Il s'était mis dans une position délicate, il serait voué à être détester, il aimait cela, ce n'est pas le souci, mais comment serai perçu cette rivalité entre eux au sein de la Famiglia. Il retirait ses gants pour monter au comportementaliste qu'il était capable de se passer de ses derniers et d'oser un contact. Il regarda ses mains pâles. Il vit bien la gêne qu'il ressentait comme si il avait pris l'habitude d'en être chaussé.

-Je vois, Vous avez des atouts, mais votre tête dit différemment de l'enveloppe, quel Momento feriez-vous sans une dose de faux-semblants ? Je suis la seconde personne à venir ici, vous ne m'aimez pas des masses, pas besoin de faire semblant Monsieur Hawkwood. Je suis responsable de cette envie, j'ai joué avec votre être. Mais me le devais, pourquoi parce que cela fait partie de ce que je suis. Soyez content, vous avez réussi à vous débarrasser de moi. Après tout, j'ai eu réponses à mes questions, entre déception et agacement, j'ai trouvé ce qui pourrait vous faire trahir les nôtres. Votre haine pour ma personne est justifié, gardez-la, je n'ai nul besoin de m'attacher aux gens pour ma part.

Maël prit sa veste et le regarda, il voulait sortir c'était son droit après tout. Il n'avait aucun regard pour le blondinet. Il n'avait pas besoin d'allonger le rendez-vous. Il avait fini par se lasser de ce jeu, là il en avait assez fait, il n'avait fait qu'empirer la situation en cherchant la petite bête avec le luthier. Quand bien même le blond voulait le rattraper, il continuerai à marcher, l'ignorant superbement, pas sûr qu'il le saisisse par le bras pour lui faire cracher le morceau, c'était pratique cette crainte du contact que l'homme avait ou non. Qu'est qu'il était de toute façon ? Il en savait rien.
By T.T.S. McKingdom de Bad♦Café
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Psychologie quand tu nous tiens [Pv Chealsey]

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